De chair et de glaise
3 novembre 2021
Des visages nus sans fioriture, sans chevelure. Le visage sous la lumière, dans sa propre lumière. Le visage de la compassion, de l’ahurissement, du cœur déçu, du cœur qui hurle. Tous les visages sont encastrés dans des formes sans corps. Pas de gesticulation, de membres qui s’agitent ; juste l’émotion, brute… C’est paradoxalement apaisant, l’émotion sans mouvement de plus.