J’ai participé au #237BloggersSummit à Yaoundé
J’ai été invité par l’association des blogueurs du Cameroun à l’occasion de la troisième édition du Sommet des blogueurs camerounais.
Le 17 août dernier, s’est tenu à Yaoundé, le tirage au sort de la Coupe d’Afrique des Nations TotalÉnergies 2021. À cinq mois du début de la compétition, la capacité du Cameroun, pays hôte, à assurer son bon déroulement est donc presque confirmée.
Comment les organisateurs du CHAN organisent-t-ils la protection des spectateurs en pleine pandémie du Coronavirus pendant le déroulement de ce CHAN au Cameroun ? Les images issues du terrain à Yaoundé et à Douala parlent d’elles-mêmes.
Au Cameroun on gagnerait à se dire les choses en face. Ce que les Camerounais attendent des experts - ces intellectuels camerounais, passés maîtres dans l’art de boucher les trous quand il s’agit de décrypter la situation de notre pays - c’est de l’objectivité. Qu’ils mettent leurs titres ronflants en valeur pour nous servir de vraies analyses. Qu’ils oublient leur mauvaise foi, il en va de leur crédibilité. Mais le peuvent-ils ? S’ils analysaient honnêtement la réalité du pays, peut-être que pour eux, les problèmes commenceraient…
Deux jours avant la manifestation du 22 septembre initiée par le MRC et les partis d’opposition au Cameroun, je me suis rendu à Yaoundé pour rejoindre le Kenya en avion. J’ai réalisé que je viens de ce pays où on n’a pas le droit de pleurer. Étouffer les sons d’un peuple, c’est encourager sa révolte.
Le ministère de la santé publique est confronté, depuis le début de la pandémie, aux multiples couacs dus aux dysfonctionnement de la prise en charge des malades du coronavirus. Mais, le week-end du 2 au 3 mai s’est achevé avec la grogne du personnel soignants à Yaoundé. Que s’est-il passé?
Le Championnat d’Afrique des nations (CHAN) de Football 2020 aura lieu du 04 au 25 avril au Cameroun. C’est avec un immense plaisir que je vais vous faire vivre cette compétition à travers ma plume. Dans cet article introductif, je vous parle du CHAN, mais surtout de la cérémonie du tirage au sort des poules qui s’est tenue le 17 février 2020 à Yaoundé.
A Yaoundé, c’est la même chose que j’avais déjà remarquée à Dibombari, à Souza puis à Foumban. C’est le même constat que j’avais déjà effectué à l’Extrême-Nord. C’est la même mentalité qu’il y avait autrefois au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, quand il n’existait pas encore de guérilla guerre sanglante de ce côté-là.
Nous sommes au quartier « Etam-Bafia », plus précisément au lieu dit «Injection-Bar», dimanche 17 septembre 2017. Il est à peu près 21h19min, top pile. Il fallait absolument que j’honore ce rendez-vous exceptionnel avec elles. Malheureusement, ce trou où elles vivent et m’ont invité, est un endroit où règne, outre une insalubrité déconcertante, une insécurité frissonnante, mais aussi et surtout une pauvreté des plus scandaleuses. J’acceptai tout de même ! …
Nous étions à peine arrivés lorsque l’une des hôtesses de l’aéroport internationale de Nsimalen s’est adressée à moi : « Madame, veillez suivre les escaliers ». Cette courte phrase a suffi pour me faire comprendre que je venais de déposer mes valises chez moi au 237. En effet, dans les aéroports traversés durant mon trajet, je n’avais emprunté jusqu’ici que des escalators. Cette dame aux allures de gazelle du Sahara a vite…