Le mois de Mars commence à peine et l’on trouve déjà plus d’une raison de regretter l’harmattan à Ouaga. Pourtant il y a encore quelques semaines, la plupart des gens trouvaient que cette période climatique – qui se rapproche de l’hiver rencontré dans les pays tempérés – était trop rude à vivre. A présent, le temps qu’il fait n’est ni favorable à l’alimentation énergétique de la cité, ni favorable à la bonne marche des activités économiques, ni favorable au bien-être des populations. La sécheresse s’installe petit à petit et les conditions de vie qu’elle crée dans cette région sahélienne du monde sont très peu intéressantes. Lire la suite de l’article…
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Auteur·e
francoperen
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