Mais comme au Togo tout rassemblement, qui n’est pas fait avec chants et danse, discours dithyrambiques et applaudissements sonores en honneur au chef de l’État, roi ad vitam du Togo, est considéré comme une rébellion, une conspiration envers la sureté de l’État, cette assemblée générale des étudiants a été réprimée pour préserver la paix nationale et l’ataraxie intellectuelle. Cette répression a conduit comme toute attente à une rare violence sur le campus universitaire de Lomé avec plusieurs blessés et quelques arrestations.
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Auteur·e
togolais
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