Lassés d’être spoliés ou oubliés, les péruviens ont choisi Ollanta Humala. Sans euphorie, ils attendent les premières décisions du nouveau président taxé de g auchisme. Eclairage avec un papier du Monde Diplomatique: un exemple qui explique que cette fois le souffle de la révolte n’ait pas faibli.
Depuis dimanche soir, Ollanta Humala est le nouveau président péruvien. Dans la Selva Central où je vis c’est bien Keiko qui est sortie première comme dans les zones de très grande pauvreté mais les Andes, le Sud et Lima ont permis à Ollanta de l’emporter. Candidat taxé de socialiste ou nationaliste, proche de Chavez, dit-on, il ne rassure pas les partisans du libéralisme péruvien.
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