Simone de Beauvoir et moi…
mais nous n’avons pas pris le temps de dialoguer car j’étais en classe de seconde. Je pensais que je n’avais pas un esprit assez fin pour comprendre son moindre essoufflement. Je l’ai laissée aller. Maintenant, dans les « Mémoires d’une jeune fille rangée », j’ai l’impression que c’est notre première rencontre.