… quand l’enfant est parti
L’enfant est parti. La chambre était devenue un mausolée dédié à ce qui avait été arraché.
Je me suis réveillé ce matin avec un poil gris sur le nombril, ce qui signifie que j’aurai bientôt la barbe blanche...
L’enfant est parti. La chambre était devenue un mausolée dédié à ce qui avait été arraché.
Son agonie a commencé il y a bien longtemps. Bien avant que les douleurs physiques ne deviennent son quotidien, les douleurs de son âme l’avaient envahie. Avec sa perte, elle s’était perdue elle-même, et elle n’a trouvé en moi, ni en personne, les raisons de faire la paix avec la vie ou la mort.
Avec le temps, j'ai fini par m'accoutumer à l'idée de la mort, de ma propre mort, puisque nul.le n'est immortel.le sur ce globe géant, qui, à l'échelle cosmique, n'est rien d'autre qu'un grain de sable jeté dans l'univers.
Mon père est mort 6 ans plutôt et c’est son anniversaire aujourd’hui. Il était profondément bon, bienveillant et drôle, et il était plus qu’une béquille sur laquelle je pouvais m’appuyer, il était ma jambe toute entière…
Le deuil en immigration émerge de nombreuses facettes interculturelles. Nous pouvons parler de mœurs, de maîtrise des émotions, de positionnement vis-à-vis des autres. Ici, essayons de voir ce sujet au-delà des différences culturelles. Prenons le cas d’une personne qui vit à l’étranger depuis un certain nombre d’années et qui est avisée par un vieil ami du décès d’un être cher. Loin de la terre natale, le deuil des étrangers est-il…
Les Bassa, peuple bantou vivant au Cameroun, font vivre de nombreuses traditions, qu'elles soient artistiques, culinaires... ou mortuaires. Dans Mondoblog Audio, Écclésiaste Deudjui nous raconte le déroulé d’un enterrement traditionnel en pays Bassa.