Gee Foo : femme d’affaires
On commence notre série de portraits avec une femme, une femme d’affaires, ou mieux : une femme de pouvoir. Très à propos pour la Journée internationale de la femme.
Amateurs de ruines, oubliez Pompéi, le Nouveau monde est votre paradis !
J’ai acheté ce foutu billet aller. Départ mercredi. Tegel. 6 h 30. Le ventre noué j’ai fait mon sac, j’ai rangé mon chez-moi, pour rejoindre ton chez-toi. J’ai rangé. Nouée. J’ai pris ma douche, en espérant m’y noyer. J’ai réglé mon réveil, terrifiée. Trois heures de sommeil devant moi. Angoisse de ne pas dormir. Angoisse de ne pas me réveiller. Quel est le pire à vrai dire. 4 heures. Plus…
Je reviens toujours à Balzac quand je suis en panne de lecture. En plus c’est un excellent somnifère- ce qui n’est pas rien pour un célibataire oisif habitué à passer des nuits blanches. On peut craindre le style ampoulé et enflammé, mais La Comédie humaine peint un magnifique tableau de l’envie de parvenir dans une société où l’argent est la valeur suprême. Je suis sans doute un modèle de l’anti-héros…
Ils étaient nombreux en début de semaine à se demander où se trouve Alassane Ouattara et surtout comment il va ? Après 4 semaines de silence, l’homme aux solutions est sortie de son mutisme pour taire toutes les folles rumeurs à Abidjan nous indique le quotidien L’Expression. Celui qu’on disait mort et enterré est apparu miraculeusement sur le petit écran ; et les réseaux sociaux comme la presse ivoirienne en ont fait…
Vous recyclez vos déchets ? Vous portez des vêtements d’occasion ? Bravo. Mais si vous combiniez les deux ?
Le 23 février dernier, l’un de « mes collègues » Mondoblogueurs – dont les merveilleux billets, trop peu connus à mon goût – publiait un honorable article sur son voyage mi- initiatique mi- amoureux en terre ukrainienne en 2012. (Je m’ose au léchage de bottes même s’il est question ici ni d’oser, ni de lécher, mais de rendre à César ce qui appartient à César.)
Me voici jeté en pâture ! Je suis à la merci des démarcheurs qui, après m’avoir méthodiquement désossé, refileront bientôt ma malheureuse carcasse aux concessionnaires pour le festin final. J’irai me reposer dans le caveau familial de la communauté des locataires indignés mais résignés de la capitale Conakry. Arès vingt-un ans de vie tranquille à Conakry, me voilà en quête d’un nouveau gîte – changement d’état civil oblige. Presque un quart…
Anderson’s Dale laisse une impression étrange. On s’y sent de trop en tant qu’humain, perdu au milieu des crabes, mais la boue, les trous, les enchevêtrements de racines, l’eau qui s’infiltre partout évoquent un champ de bataille de la Grande guerre, comme le souvenir d’une vie antérieure de soldat.