Categorie: Réseaux sociaux

Je continue à écrire ce qui me passe par la tête, quand je veux (et surtout quand j'ai le temps), et je dis crotte aux algorithmes.

Gratuité, entraide, décroissance... valoriser le réemploi et la mutualisation de biens plutôt que l'achat de produits neufs, voilà qui s'annonçait bien !

Jeudi 30 août, Ali Bongo s'est livré à un exercice nouveau en termes de communication : la fameuse interview dénommée "Face à la Nation". Les gabonais et gabonaises ont abondamment commenté les réponses du président sur les réseaux sociaux.

Quand un bruit assourdissant se fait entendre, il y a généralement deux réactions, selon que les personnes puissent voir la source du bruit, ou qu'elles l'aient seulement entendu. Avec les buzz, c'est la même chose.

Mon ordinateur qui me lâche, puis mon téléphone qui m'abandonne... C'est rageant, mais ces deux évènements m'ont poussé à réfléchir, et à lister les raisons pour lesquelles faire une vraie détox du numérique.

La population du Gabon est en froid avec Ali Bongo depuis avant sa réélection contestée de 2016, et cela se voit sur les réseaux sociaux. Le Président vient d'adopter une nouvelle stratégie pour tenter de renouer le dialogue.

Les réseaux sociaux sont devenus un bon moyen de saluer les mauvaises actions. En Guinée, l'illustration la plus récente est celle de la rénovation du pont de Linsan, tournée en ridicule.

Hier, je me réveille tôt le matin et, comme toujours, j’active les données mobiles de mon téléphone avant de sortir du lit, question de consulter mon mail et passer des petits coucous aux amis via WhatsApp... mais en vain.

Cameroun. Facebook. Est-ce que ça c’est même un buzz ? Parfois je me connecte et j’apprends qu’il y a un inconnu qui a préparé le couscous maïs chez lui avec la sauce gombo. Parfois j’apprends qu’il pleut actuellement à Edéa. Parfois je vois une dame qui nous présente toute sa famille alors que je ne la connais même pas. Parfois il y a des jeunes filles qui nous demandent de voter si on les préfère en pantalon moulant ou bien en pantacourt collant...

Il n’y a plus de blogosphère tchadienne. Ou peut être qu’il n’y a en a jamais eu, difficile à dire. D’après les informations que j’ai pu recolter ici et là, la blogosphère tchadienne n’est pas aussi jeune qu’on le pense. Les premières traces de blogs tchadiens remontent aux années 2002-2004. Puis de 2006 à nos jours, la blogosphère tchadienne a connu une sorte d’expansion avec la création de près d’une…

Sérieux, c’est normal que le ministère de la Communication n’ait pas de site Internet pour communiquer en temps réel sur les activités du gouvernement ?

Textes, vidéos, images "Made in Chad" circulent sur la toile des 750.000 internautes tchadiens, bien qu’en petites quantités comparées aux pays voisins.

En Afrique, "on s’en fout vraiment" que nos données personnelles soient à la portée de tout le monde et cette campagne n'aura pas d'effets.

Retour en 3 actes sur le hashtag #ParlerCommeElie qui a bien fait rire les Guinéeens, sans distinction d’ethnie, de région ou de religion.

Facebook est pris dans le scandale Cambridge Analytica parce qu'il n'a pas su protéger les données de ses utilisateurs. Et si la blockchain permettait d'élaborer des réseaux mieux sécurisés ?

Plutôt que de choisir l’application la plus sécurisée, il est préférable de faire attention à ce qu’on échange en ligne !

Avec ce blog, des journalistes africaines veulent promouvoir les droits des femmes et vulgariser leurs activités pour aider leurs pays à se développer.

J’ai découvert Scheena Donia il y a quelques mois. Scheena a 39 ans, elle est mère de quatre enfants et gère à la perfection une vie entre deux avions... Elle arrive à tout concilier : une vraie complicité avec ses enfants et une carrière professionnelle réussie. Quelles leçons retenir de cette entrepreneuse hors pair ? C est justement l objet de ce billet ! :)