« Moi aussi, je préfère l’ours ! »
"Que craignent les femmes le plus entre un ours et un homme ?" Les réponses à cette question animent la toile en mettant en lumière les violences faites aux femmes.
Vous êtes dépité par les incivilités sur Internet ? Elles prospèrent peut-être grâce à vous, malheureusement. Beaucoup parmi nous, en effet, financent la bêtise, les insultes, la diffamation et même les fake news…
Tout le monde semble riche sur les réseaux sociaux. Tout le monde semble heureux sur les réseaux. Pourtant, dans la vraie vie, la réalité est tout autre. Pourquoi certaines personnes vendent-elles l’illusion sur les réseaux sociaux ? Pourquoi certains individus n’étalent-ils que leurs réussites sur la toile ? Voici quelques tentatives de réponses.
Depuis 2006, les femmes ont envahi ces espaces pour dénoncer les différentes formes de violences dont elles font l’objet au quotidien. Elles utilisent les réseaux sociaux pour sensibiliser la population sur l’importance d’avoir une société dans laquelle doivent régner la justice sociale et l’égalité entre les hommes et les femmes.
Les influenceurs sont de plus en plus à la ramasse. Passe sèche. Pour éviter de tomber dans l’oubli, ils s’attaquent à tous les sujets. Et n’importe comment. En effet, ils n’ont qu’un leitmotiv : plus de followers, plus de vus, et monétiser leurs sorties, souvent hasardeuses...
Dans une conversation sur SnapChat, l’international camerounais Martin Hongla a déclaré : « Dans notre famille, on n’épouse pas les filles bamilékés ! » Un footballeur international qui tient des propos tribalistes, tendant à semer la division et à propager la xénophobie au sein de la population camerounaise, c’est inacceptable. En tant que personne publique, il doit mesurer la teneur de ses propos et faire preuve de responsabilité, en ne touchant pas à la cohésion nationale camerounaise.
Depuis le début de cette année 2023, la mort rôde sans cesse dans le secteur du showbiz camerounais. Après les décès de plusieurs stars, cette faucheuse vient encore de frapper. Elle a emmené avec elle jeudi dernier, 15 juin 2023, l'artiste et web-comédien Cabrel Nanjip.
Les discours de haine sont malheureusement une réalité dans de nombreux pays, y compris le Cameroun. Ils favorisent un climat d’intolérance et de peur qui peut conduire à la marginalisation et à l’exclusion de certaines populations. Ils sont une menace pour la démocratie et la paix.
J’ai ouvert mon compte Facebook en 2009. A l’époque, on retrouvait des visages perdus de vue depuis des années. C’était l’occasion de retrouver des amis d’enfance et d’anciens camarades de classe… L’ambiance était bon enfant. Il y avait de la drague dans les messages privés, mais rien d’affolant. On était loin des filtres et des retouches photo à outrance. On ressemblait encore à nos photos de profil ! Et franchement, il n’y avait pas de prise de tête. C’était l’époque de l’insouciance sur les réseaux sociaux.
Le 21 janvier dernier, sur l'échiquier culturel guinéen, l'actrice tiktokeuse nous livrait les étoiles en cadeau de nouvel an. Et Tiktok déferla sur Conakry, au Chapiteau By Issa, sur l'esplanade du Palais du peuple ; la bande a Mimiche sortait sa magie !
Nous sommes dans l'ère de la communication digitale, et il est bien évident que les réseaux sociaux constituent de plus en plus un grand risque pour les jeunes. Peut-on instruire les jeunes au bon usage des réseaux sociaux plutôt que de les encourager à s'abstenir ?
En Afrique et spécifiquement au Bénin, les réseaux sociaux ont été de bons alliés pour leurs utilisateurs. Les béninois ont su profiter de l’avantage et des opportunités de cette nouvelle ère et du nouveau style de communication qu’ils imposent. Depuis leur avènement, ces nouveaux outils de communication ont su apporter information, formation et distraction à leurs différents abonnés.
On le sait tous, Internet c’est la jungle. Tellement de choses sont écrites, partagées puis amplifiées sur les réseaux sociaux ! Pourquoi ? Parce-qu'on est coupé de la réalité quand on clique incognito, bien à l'abri derrière nos écrans...
La préservation de l’environnement est l’un des plus grands défis de notre époque. Partout dans le monde des jeunes s’engagent en faveur de la nature. Beaucoup d’entre eux militent pour un changement dans nos façons d’interagir avec le monde et ses éléments constitutifs. Anas Seko est l’un de ces acteurs de changement. Son engagement écologique au Bénin inspire beaucoup d’autres jeunes.