Les amis, je suis à Gao
J’ai quitté Bamako dans les mêmes conditions que tous les déplacés du nord du Mali : Difficiles. C’est en croire que les compagnies de transport se moquent de nous. Au pire, ils nous prennent pour du bétail. J’étais en partance pour Gao. Le billet m’a coûté les yeux et le nez de la tête. En plus je n’ai pas droit amener une seule chemise (je veux dire un pagne car je ne…