À l’ombre de la mort
Ils sont partis. Ceux dont on a dérobé les rêves et le sourire. Ceux dont on maintenait la tête dans les eaux troubles d’une piètre existence. Ils sont partis sans laisser de traces.
« Diokoul sans sable ». Tel est le vaste défi que s’est lancé la jeunesse de ce quartier traditionnel Lébou, situé à Rufisque-Ouest. Chaque dimanche, hommes et femmes se donnent rendez-vous dans le but de paver les rues, décorer les murs, pour un cadre de vie plus agréable.
Beaucoup de gens se plaignent que leurs affaires ne marchent pas, et pourtant il leur suffit juste de changer de comportement pour réussir !
Il est temps de me réveiller pour parler haut et fort de mon inquiétude. Mieux vaut crier que d’attendre le son de la cloche pour avoir tort. Certes, le coup d’État du 5 septembre dernier a été un ouf de soulagement pour le peuple de Guinée. Mais on se souvient toujours des autres coups d’États.
Certains diplômés auront la possibilité d’avancer vers leurs rêves, tandis que d’autres auront l’impression de s’en éloigner. Un médecin prescrit quelque chose ! J’ai rencontré un médecin récemment, il m’a aidé à comprendre que le médecin, son travail c’est de sauver la vie. Je vous partage ce que j’ai appris de lui.
Le Congo, c’est l’exemple concret de tout ce qu’on qualifie de bien dans la Bible. Le Congo, c’est la création quasi parfaite de Dieu. Alors, pourquoi devrais-je quitter le Canaan pour aller voir ailleurs ? J’ai tout ce qu’il me faut ici en RDC.
Pour bien se récréer, quoi de plus bon que de partir dans un lieu renommé. Communément appelé Janet, chers visiteurs, c’est la plus grande boite de nuit de Télimélé, ma ville natale. Alors suivez-moi et faisons-y un tour.
Ce dimanche 5 septembre, le peuple de Guinée s’est levé avec une nouvelle inattendue. Il s’agit bien d’un coup d’État orchestré par un groupe de militaires. Pour comprendre la situation, j’ai décidé de faire un tour en banlieue de Conakry.
Vous vivez au Congo, vous y êtes en vacances… Vous n’avez jamais visité Kisangani, la troisième ville de la RDC ? Je vous conseille d’y faire un tour, car c’est une ville pas comme les autres, une ville où coule le miel comme le Canaan.
Il faut apporter une aide matérielle et psychologique aux femmes, et aussi aider leurs enfants dans leur scolarisation. Les femmes abandonnées par leur mari vivent une des pires violences, la violence psychologique, qui peut mener à la folie. Ici en Adrar, il n’y a pratiquement pas de cas de viol. Les principaux problèmes sont liés aux conflits conjugaux, notamment à l’abandon des épouses par les hommes qui refusent de les divorcer.
Par manque d'un courant électrique permanent, les habitants de Mbujimayi, capitale de la province du Kasai oriental, ont appris à se prendre en charge. Devant un Etat défaillant, certains Mbujimayiens ont développé des initiatives privées pour combler cette insuffisance. Ils ont créé des unités de distribution du courant électrique, qui fonctionnent grâce à des groupes électrogènes.
La béninoiserie est certainement l'un des termes les plus péjoratifs attribués aux béninois. Médisance, coups bas, sorcellerie… L’idée de la béninoiserie a pris de l'ampleur et s'est répandue, aussi bien au Bénin qu'au-delà de ses frontières. D'où vient cette expression et ce mythe sur la méchanceté des béninois ? Pourquoi est-elle complètement absurde et fausse ? C'est ce que je vais vous démontrer dans cet article, qui se veut une forme de fact-checking des caractéristiques attribués aux béninois, sous le couvert de la béninoiserie.
Je suis née dans une patrie meurtrie, une nation écartelée par la guerre civile, écrasée par les crises régionales, malmenée par les tensions internationales. Enfant, j’ai fui ma maison sous une pluie d’obus. De retour, j’ai piétiné des débris de verre sur les escaliers, j’ai plongé mon regard dans les trous qui ont criblé les murs et j’ai passé mes doigts sur les fissures…