En 2018, je châtierai la présidentielle camerounaise en riant
Chez nous, à moins de deux ans de la prochaine échéance cruciale, on ne sait toujours pas qui va faire quoi ? Il faut même innover hein, messieurs les politiciens !
Le Cameroun en guerre « Bravo à ce sergent du BIR en poste à Dabanga. Le 16 septembre dernier, lors de l’attaque de Boko Haram avec deux camions entre Gouma et Kabo 2 (qui a fait 4 morts civils), seul, il a réussi à tenir tête à une trentaine d’assaillants, tuant même un terroriste. Blessé, ses jours ne sont pas en danger. Une petite pensée pour ce brave compatriote. » Voici l’intégralité…
C’est bien connu ! L’hôpital est le lieu le plus indiqué si on veut comprendre tous les malheurs du monde. Tous les hasards et barbaries de la terre viennent y échouer. D’un côté, on sauve le coup et on redonne la vie. D’un autre côté, on constate la mort et la vie n’est plus. Mon séjour dans un de nos hôpitaux pendant que je donnais la vie m’a permis d’en…
Au Cameroun, le permis de conduire, on l’obtient d’abord, et on apprend à conduire ensuite.
Si vous bâchez avec une femme potelée, vous serez bien sûr assit à l’arrière, et les fesses de la femme (qui aura surement payé moins cher que vous) prendront tout le siège, vous aurez donc les fesses sur le fer de la moto, imaginez la douleur lorsque vous êtes sur une route accidentée !
L'arrivée massive des églises dites "de réveil" a dévoilé une catégorie de citoyens faibles d'esprit.
Ce week-end, le petit frère d’une de mes voisines est venu voir la télé chez moi comme d’habitude. Sa soeur aînée avec qui il vit était en villégiature à Kribi. Et c’est lui qui lui garde tout le temps qu’elle voyage ainsi, son bel et luxueux appartement. Ce dimanche donc, pendant que nous visionnions, il s’étonnait tellement de sa sœur. En fait, dans ses dires, il ne comprend pas sincèrement…
L’élection présidentielle gabonaise s’est achevée le 27 août 2016 mais elle déchaîne encore et toujours les passions au Cameroun. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que les Camerounais s’adonnent ainsi à cœur joie au débat lié à l’actualité politique d’un pays voisin. Pourquoi les Camerounais s’intéressent-ils, se déchaînent-ils, se passionnent-ils, voire se tuent-ils tant à s’occuper des problèmes des autres ? Ce constat quasi général est unanimement et diversement apprécié…
J’ai vu un truc surréaliste qui s’est passé l’autre jour sur Vision 4 ! Pendant une émission politique, il y avait un panéliste qui était complètement soûl. Il interrompait insultait les invités, il était incohérent dans ses interventions, et de temps en temps il s’amusait même à vouloir jouer les modérateurs… Tsuip ! C’est même pour ça que j’ai eu envie de créer ma propre chaîne de télé camerounaise.
L’état actuel de la ville de Yaoundé c’est aussi de notre faute.
Samedi 27 août 2016 le peuple gabonais élisait son président. Mais pendant qu’on votait là-bas à Libreville, les Camerounais se chamaillaient ici et se disputaient pour savoir qui allait l’emporter. Jusqu’à j’ai même pensé qu’il s’agissait déjà du successeur de Paul Biya…
J’avais une camarade à Bafoussam qui était extrêmement sollicitée ! Mais comme elle était timide, elle avait toujours du mal à se séparer des garçons qui venaient lui faire la cour. Je lui ai dit un jour que « Je demande hein, tu ne sais pas comment on repousse un dragueur ? »
Je regardais un débat télévisé il y a quelques jours sur une chaine locale et qui portait sur l’amélioration de l’éducation au Cameroun. De grands noms, connus et reconnus étaient les invités. Mais vers la fin, j’avoue qu’en dehors des gros titres, diplômes et grosses théories fallacieuses que chaque panéliste a brandi, mes deux jeunes cadettes, étudiantes à l’École Normale Supérieure, qui visionnaient avec moi ces échanges et qui pensaient…