Il y a
Il y a en Guinée un petit village. Il y a à cet endroit un joli ruisseau. Il y a face à ce cours d’eau, d’indescriptibles sentiments qui nous viennent
L’espace était chose finie. Les êtres vivants devenus des immortels. Lorsque les oiseaux marchèrent sur l’Atlantique,
Paris Décembre 2011, la ville est enneigée, le train de Leila s’arrête à Paris Gare de Lyon. La jeune femme est toute émoustillée. Ils ont prévu de se rencontrer dans le petit café du 16ème arrondissement. A son arrivée, elle est toute courbatue par le voyage, mais c’est à peine si elle sent cette fatigue qui tord son corps.
C’est le comble du mépris envers les populations qui ont ‘’ ingénument’’ cru aux valeurs de la démocratie. Oui ! Vous avez raison. La démocratie a des valeurs immenses et mon attachement à ces valeurs va au delà de l’obstination et frôlerait le fanatisme. Suis-je un utopiste dont la naïveté est plus qu’endémique ? Certainement pas.
Partir d’un raisonnement réducteur pour traiter une thématique aussi délicate qu’est la place de l’ethnie dans le jeu politique guinéen me semble dénuer de sens surtout quand l’initiative vient d’une personne qui est sensée appréhender le ciment sociologique des communautés guinéennes.
Après le mouvement terroriste Al-shebab en Somalie, Ebola est devenu le nouvel ennemi des États-Unis en Afrique. Ce mardi 16 septembre Barack Obama a annoncé l’envoi de 3 000 militaires pour lutter contre ce virus qui attente à la « sécurité mondiale ».
Tard dans la nuit quand nous veillions et que je me blottissais contre elle, glacé par les hululements du hibou perché dans les branchages du bois qui jouxtait notre village de montagne, feu ma mère me disait souvent : « Alimou, Dieu n’a pas dit que le maudit n’aura pas son basin, mais il ne le portera point ». Je mis du temps, beaucoup de temps à percer le sens de cette citation qui me paraissait à la fois énigmatique et si absurde.
Selon l’OMS, le virus Ebola qui ravage l’Afrique de l’Ouest depuis décembre 2013 a fait plus de 2 000 morts sur un total de 3 900 malades répertoriés, dont 823 cas et 522 décès en Guinée. L’organisation onusienne prévoit à terme 20 000 cas. Par ailleurs, deux nouvelles localités, en l’occurrence les préfectures de Kérouane et Coyah, ont été touchées par l’épidémie. Ce qui montre que loin du sourire affiché…
L’affaire des 10 milliards de FCFA saisis par la douane sénégalaise se serait passée inaperçue en Guinée n’eût été la loyauté des douaniers et le professionnalisme des médias sénégalais. Début août, le 8 précisément, un aéronef en provenance de Conakry se pose sur l’Aéroport International Léopold Sedar Senghor de Dakar, avec un bagage d’une grande valeur : des devises étrangères (euro et dollar américain) estimées au début à 4 milliards…
La situation est de plus en plus critique en Afrique de l'Ouest où le virus Ebola fait des ravages. La propagation de l'épidémie est aussi un défi aux autorités politiques, à la communauté scientifique et à tous les acteurs concernés.
Pour commencer, faisons cet effort pédagogique pour clarifier le concept ‘’se battre’’ afin d’éviter toute polémique allant dans le sens de donner une connotation de violence à notre action. ‘’Se battre’’ pour le triomphe des valeurs démocratiques avec pour seule arme : les dispositions juridiques qui légitiment les actions. Telle est l’acception retenue dans le cadre de cet article. Tu délires ! rétorqueront certains. Qu’est ce que tu vas dire de nouveau ?…
Les autorités sanitaires ne l’ont pas encore officiellement annoncé, mais l’épidémie d’Ebola a été très vraisemblablement vaincue à Télimélé. Avec brio. Disons-le d’emblée : à Télimélé, chez moi, Ebola a trouvé garçons ! Le redoutable virus s’y est heurté contre une résistance inattendue, héroïque et même historique. Les professionnels de santé en sont encore tout baba !
Répétons avec un dicton peuhl « Tous les jours ne sont pas vendredi ». J’y ajouterai que ce n’est pas tous les vendredis qu’on a la (mal) chance de vivre une guéguerre d’imamat. Jusque-là, prier derrière deux imams dans la même mosquée, au même moment, était inédit. Désormais, c’est chose faite. La marque est du « made in Guinea ».
L’équipe de Guinée (le Syli national) ne s’est pas une fois encore qualifiée comme toujours à la phase finale de la coupe du monde, néanmoins cette coupe du monde est attendue à plus d’un titre par les amoureux du ballon rond. / A Conakry, des médecins interviennent auprès de malades, photo Nouhou Baldé.
Je viens d’apprendre une nouvelle qui m’a vraiment donné le sourire, et certainement à vous aussi chers jeunes Guinéens de la cité de Labé, à 440 kilomètres de Conakry. Je vous parlais dernièrement des 3000 francs guinéens (33 centimes d’euros) que je dois dépenser pour voir un match dans un vidéo club. Mais ce temps est maintenant révolu ! (Crédit photo Sally Bilaly Sow)
Que pouvait-il faire d’autre ? Était -il prédestiné à un règne de paix et de bonheur pour son peuple ? Certainement pas ! Il est tout sauf un sauveur. Il est le continuateur (celui qui prend le relais) des actions manifestement douloureuses de ses prédécesseurs. Avec lui, la démocratie attendra ! Les droits de l’homme attendront ! Mais l’espoir qu’une autre Guinée est possible est de plus en plus manifeste. Alpha condé était-il prédestiné à…
Le Silly national de Guinée – nom de la sélection signifiant « L’éléphant national » – ne s’est pas qualifié pour la compétition la plus attendue au monde. Mais cette élimination n’a pas laissé les fans locaux de ballon rond indifférents, et les Guinéens ne vont pas boycotter la Coupe du monde. Loin de là.