Abus de mineurs à Madagascar : l’envers du décor
À Madagascar, on constate une augmentation alarmante des cas d'abus sexuels sur des mineurs, majoritairement perpétrés par des membres de la famille des victimes.
Les défenseurs des droits humains sont persécutés. Les menaces et intimidations, atteintes à l’intégrité physique, arrestations arbitraires, emprisonnements, servent à faire taire une seule voix : celle de la justice.
Don Chirhuza, réalisateur visionnaire et Headmaster à Nélites Fils Academy, revient sur la genèse de son film et son combat contre l’injustice. Il défend un cinéma alliant art, responsabilité et quête de vérité.
La commémoration du massacre de Thiaroye rappelle le silence des instances juridiques sur les crimes coloniaux. En réponse à l'impunité des anciennes puissances coloniales, cette tribune propose de créer un tribunal ad hoc.
Aujourd’hui, alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 touchent à leur fin, il est temps de revisiter cette réflexion. Nos champions, bien que capables de prouesses surhumaines, sont finalement mortels, enclins à des faiblesses qui les ramènent au sol.
Certains faits de la vie quotidienne démontrent que l'égalité des personnes prônée par le droit international est une illusion. L'opinion collective au Cameroun s'appuis sur cette insuffisance du droit pour mettre à mal les droits de la femme en tant que personne. Cette situation laisse la place à une démonstration de la puissance paternelle qui aboutit malheureusement aux violences conjugales voire aux féminicides.
J’ai mis du temps à comprendre que, comme les régimes qui l’ont précédé, le CNRD a eu le courage saillant de placer les crimes humains dans la corbeille de l’oubli et de l’indifférence.
La pratique de l’avortement est une réalité en Côte d’Ivoire. En démontre les chiffres clés sur la question, quoique le cadre juridique nationale y soit peu favorable. Et ce, en dépit du plaidoyer de la société civile pour une offre de service d’avortement sécurisée et légale.
À l’occasion de la commémoration des massacres du 28 septembre 2009, la CGCPI a animé une conférence de presse ce lundi. Dans sa déclaration, elle a déploré la lenteur de l’évolution judiciaire du dossier et a une nouvelle fois plaidé la tenue de ce procès historique.
Chers compatriotes et camarades de lutte ! Peut-on parler de paix dans un pays entièrement corrompu ? Peut-on parler de paix dans l’injustice ? Peut-on parler de paix dans un régime dictatorial ? Peut-on parler de paix lorsque l’autre dort dans l’obscurité totale, alors que l’autre vit dans luxe ?
La liberté n’est pas un choix mais un droit. On ne peut comprendre l’existence d’un homme qu’à travers sa capacité à être libre.C’est le premier pouvoir dont dispose un être humain. Il doit avoir la possibilité de choisir non seulement d’être qui il veut être, mais aussi la possibilité d’être où il veut être, comme il veut y être.