L’invasion des « Microbes », gang de pilleurs à Douala
Ce sont des bandes armées qui « apparaissent » de façon imprévisible dans des espaces publics et commettent des vols et des destructions. Les riverains ne supportent plus cette insécurité.
Haïti est en crise. Ses dernières élections remontent en 2016. Malgré l'établissement d'un nouveau gouvernement de consensus, le pays continue d'être en proie à la violence des gangs, ce qui constitue un défi pour la tenue de prochaines élections.
Guemou est le troisième village attaqué par une bande armée ces derniers mois. Cette recrudescence d'attaques à l’intérieur de la Mauritanie inquiète les habitants et dénote d’une démission sécuritaire grandissante.
La police ne sait plus à quel saint se vouer et les citoyens sous quelle citadelle se cacher, tellement la criminalité semble être l’activité la plus lucrative dans un pays où le taux de chômage des jeunes frisent les 70%, face à l’échec de toutes les politiques d’emploi.
Après les faits divers tous plus choquants les uns que les autres de ces derniers mois et publiés dans les journaux - parricides, infanticides, viols et pédophilie, meurtres, accidents routiers, kidnapping, attaques de dahalo, vindictes populaires, etc. ; toux les maux du monde sont finalement devenus le quotidien des malgaches.
Depuis juin 2016, après la mort d’un haut gradé de l’armée malienne, nos militaires ont souvent la peur au ventre, ou tout simplement ils ne veulent plus mourir pour rien! Sur la route de Gao, entre Hombori et Gossi (85 km), les transporteurs et les passagers font toutes les prières du monde pour échapper aux bandits armés, qui n’hésitent pas à tuer ou piller.
Appelée suite à l’agression dont a été victime le porte-parole de l’opposition républicaine, le 4 avril dernier, la manifestation de ce lundi a bien commencé dans plusieurs quartiers de Conakry. Très tôt le matin, aux environs de 6 heures, les manifestants ont érigé des barricades sur la route Le Prince. Sur l’axe Kagbelein – Hamdallaye, il n’y a pas de circulation. Les commerces et les stations services n’ont pas ouvert,…
Qui aurait cru, il y a cinq ans de cela, que Bamako serait victime d’une situation d’instabilité sécuritaire aussi grande, et digne d’un film hollywoodien avec une mise en scène de guérilla urbaine. Les effets spéciaux du grand écran s’invitent dans nos rues. La question reste posée. Rappelez-vous l’année dernière, aux heures de l’insurrection militaire, la ville de Bamako était très quadrillée avec un contrôle accru aux différentes entrées.