Phénomène des Garibous au Burkina : prendre le problème à bras le corps
Comment comprendre qu’un lundi, à une heure où les enfants sont supposés être à l’école, que d’autres gamins âgé souvent entre 4 et 16 ans en guenilles, pieds nus, des sébiles à la main sous la forte canicule, se promènent dans les rues de la ville de Ouagadougou pour mendier les restants de nourriture où laver des plats dans des restaurants pour avoir de quoi à manger. On les appelle…