Please, we need quiet!
J’ai comme un sentiment d’insatisfaction. Mes yeux ont dû perdre la propriété qui s’attachait à son charme, ou c’est le charme d’Aïda qui a migré vers le passé. Elle n’a plus sa fraîcheur. Cette joie de vivre. Cette insouciance. Je regarde un visage maigri et préoccupé. Buriné par les soucis. C’est un temple de tristesse, malgré le sourire qu’elle s’efforce de présenter.