En Haïti, il n’y a pas de sot métier
Dés l’aube, une foule immense se dirige dans les zones métropolitaines de Port-au-Prince. Cette foule se compose : des commerçants, des professionnels, des professeurs, des hommes d’affaires, des chauffeurs, des marchandes ambulantes, des cireurs de chaussures… Le plus important, c’est la classe paysanne, venant du milieu rural pour venir dans la capitale. Ces marchandes, communément appelé : « madame Sara », au péril de leur vie, sur de gros camions débordent des marchandises…