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Dans la contrée de Diafounou (région de Kayes au Mali), le quadragénaire est un modèle de l’entreprenariat rural. Celui qui n’a pas pris pour option ni l’école ni la migration a choisi le métier de la ferme.

À chacun sa manière de soutenir le monde agricole. Pour ma part, je voudrais vous raconter l’histoire de Philippe.

Le projet "mottes de Terre" du jeune chercheur Lassina Sanou est un concept novateur qui participe à la préservation de l’environnement grâce à la réduction de l’utilisation des sachets plastiques par les pépiniéristes. Ce projet est d'autant plus intéressant qu'il répond à plusieurs problématiques : en plus de réduire l'utilisation du plastique, il offre des pistes de solutions pour lutter contre le dérèglement climatique !

C’était un été comme celui-ci. De violents orages interrompaient d’interminables jours de plomb. Le soleil dévorait les vies, balayant les espoirs d’un ciel clément. Ah oui, et on faisait la fête aussi. Beaucoup. La musique et le vin aidant, nos fronts perlaient de sueur à force de danser sous la lune. Depuis la révolution néolithique, on danse au temps des moissons, afin qu’elles soient bonnes malgré tout. De millénaire en millénaire a-t-on conscience que l’on perpétue un rituel qui, depuis des temps immémoriaux, vise à éloigner les ravageurs, la grêle et la canicule ? Aujourd'hui notre maison brûle, notre navire prend l’eau et l’on fait toujours la fête.

Albert Tori agriculteur à Sirarou dans la commune de N’Dali au Nord-Bénin opte pour l’agriculture intégrée. Il nous confie qu’il a trouvé son salut avec cette approche avec à la clé autonomisation financière et notoriété.

[Cop 26] : Je suis de ceux qui pensent que quiconque nuit à l'environnement et à la biodiversité doit être poursuivi pour crime contre l'humanité. Car, jusqu'à preuve du contraire, la Terre est la seule planète habitable de l'univers. Si elle n'est plus propice à la vie alors nous disparaîtrons, tout simplement.

Face à crise climatique, le système aquaponique se révèle une stratégie de résilience face à la crise climatique. Focus sur cette technique qui permet une économie non-négligeable de l’eau dans l’agriculture.

Les ressources agricoles dont regorgent les pays du Sud constituent le cœur du commerce international. La mondialisation vit au rythme de la consommation des produits exotiques que sont le café, le cacao, la banane ou encore l’avocat. Malgré cela, les familles de nombreux agriculteurs locaux vivent dans la grande pauvreté. Leur conditions de travail sont dures et leur qualité de vie moindre. Une seule solution : promouvoir et renforcer un commerce équitable véritablement équitable.

Le Projet de développement rural de la plaine de Djagble (PDRD) est un projet ambitieux lancé depuis plus de 3 ans maintenant. Objectif ? L’amélioration des conditions de vie des populations de la zone. Et ce, à travers la promotion des cultures rizicole et maraichère, la pisciculture et l’élevage.

Depuis quelques mois, les prix des denrées alimentations de première nécessité ont grimpé. Beaucoup de béninois vivent mal cette situation . D’ailleurs, nombreux sont ceux qui ne peuvent plus satisfaire comme d’ordinaire leurs besoins alimentaires.

N’Tena est un village situé à 5 km de Kéléya, dans la région de Sikasso, au Mali. L’économie du village repose essentiellement sur la vente du charbon. Cette activité n’est pas sans conséquence sur l’environnement. Et les populations sont de plus en plus conscientes du danger qu’elle représente.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le Sénégal a notamment servi de socle pour le ravitaillement de la France. À cette époque, une personnalité hors du commun s’est distinguée par son sens de l’humanisme : l’agriculteur Thierno Souleymane Agne.

Trente participants des coopératives et groupements agricoles des femmes de Sotouboua ont bénéficié d’un atelier régional d’information sur les Zones d’aménagement agricole planifié.

La saison agricole peine à décoller à Sotouboua, alors que le mois de mai approche. Les agriculteurs se morfondent. Pas de pluies, ou du moins elles sont rares et localisées en ce début de saison. Cela impacte le démarrage des activités agricoles dans la région.

Tout produit issu de la vache est utilitaire, c’est un secret de polichinelle. La chair est consommée, le lait aussi, la peau de l’animal est utilisée en maroquinerie et la bouse à laquelle ce billet de blog est consacré est d’un multi usage qui risque d’en étonner plus d’un lecteur.

Vers le mois de mars, lorsque l’eau du fleuve Chari quitte son lit naturel, il devient un lieu propice pour certaines activités lucratives. Des femmes et des hommes arpentes alors ses abords pour des cultures maraichères en tous genres.

C’est une terre d’abondance qui hélas est oubliée : son potentiel avéré dans la production du riz n’est pas exploité à sa juste valeur… Je parle de Laï évidemment. Laissez-moi vous y emmener.

La pandémie de coronavirus met en évidence la vulnérabilité des systèmes de production et de distribution des denrées alimentaires au Burkina Faso. Heureusement, certains paysans ont tout misé sur un autre modèle d’agriculture : l’agroécologie.