Gros plan sur la « culture telenovelas » en Afrique
Il est 20h30, l’heure à laquelle les ruelles d’Agbalépédogan (1) se desertent. Seule la rue principale avec ses deux rangées de lampadaires dessinant sur le sol des silhouettes longilignes trahit quelques présences humaines. Présences sans aucun doute masculines, la majeure partie de la gente féminine s’attelant à une autre occupation. L’indifférence suscitée par les trente minutes réservées au JT de 20h (journal télévisé) et à sa charmante présentatrice laisse place à l’effervescence…