Mot-clef: Terrorisme

Grand-Bassam c'est la destination idéale des dimanches ensoleillés : ville riante au bord de la mer, à une heure de route d'Abidjan, connue pour ses superbes plages. Quand, comme nous, on fait partie des habitués, on dit tout simplement "Bassam".

Dans la capitale ivoirienne, des SMS circulent, laissant présager une attaque terroriste imminente.

On savait qu’ils pouvaient frapper un jour. Ils l’ont fait. Ils ont touché un point symbolique de la capitale burkinabè : l’avenue Kwame N’Krhumah.

Depuis les attentats de Paris, des voix s’élèvent et appellent à la déchéance de la nationalité française. Pour l’instant, la loi autorise cette mesure, uniquement quand elle cible des auteurs binationaux d’actes terroristes, qui ont obtenu la nationalité française depuis moins de dix ans. Mais faut-il retirer la nationalité française aux personnes qui partent faire le djihad à l’étranger ? Quinze-ans après les Américains, les Français tombent à leur tour…

L’état d’urgence, prorogé jusqu’au 31 mars prochain sur l'ensemble du territoire malien, suscite toujours le débat.

Douce France, tu n’es peut-être pas la terre de mon enfance, comme pour Charles Trenet, mais tu restes et demeures la terre de mes espérances. Douce France, fille aînée de l’Eglise, Terre des Droits de l’Homme, multicolore. Oui, pays de la liberté, de la fraternité et de l’égalité. La France des vins, du fromage, des arts, des monuments, des spiritualités.

Nul homme ne nait monstre. Il le devient. Ainsi les assassins de Daesh ont été enfants. Donc innocents. Il est indispensable de l’apprécier.

Il est important de noter que l'intervention de l'Otan a plus fait de mal aux Libyens que le régime de Kadhafi en 40 ans de règne.

Le Burkina est désormais une zone dangereuse. Depuis l'attaque de Samorogouan qui a fait 3 morts, le terrorisme s'est installé dans le pays..

En l'espace d'un week-end la Turquie, le Cameroun et le Tchad ont été victimes d'attaques terroristes sanglantes.

Le chômage conduit facilement les jeunes à accepter toutes sortes de propositions. Ils ne seront donc pas insensibles aux offres mirobolantes de groupes djihadistes.

Sous le feu des armes et la terreur des djihadistes, les populations des régions occupées n’avaient qu’une seule option : fuir.

Le type qui a pris sur lui d’interdire la burqa dans son territoire de commandement, il devait d’abord interdire la gandoura à notre président de l’Assemblée nationale.

Le président Idriss Deby est beaucoup plus préoccupé de la sécurité de ses voisins que de celle de ses compatriotes.

La vérité, c’est qu’il n’existe aucune rigueur dans les contrôles : une voiture qui passe sera contrôlée ou pas selon l’humeur des patrouilleurs.

Les enfants sont regroupés et avant qu’ils ne se rendent compte de quelque chose, on les force à marcher et entrer dans la camionnette.

A Ndogsimbi, banlieue de Douala, une foule carrément folle a imaginé des kamikazes dans le coin.

La seule menace actuelle et réelle est sans doute cette gouvernance de rumeurs et d’instrumentalisation dangereuse du fait ethnique ou religieux.