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Roger Mawulolo 
Devant un public séduit, Etienne Minoungou a présenté « Traces. Discours aux nations africaines », un texte de Felwine Sarr. Sur la scène du Théâtre de verdure de l’Institut français de Dakar, l’acteur a agrémenté le monologue d’une musique de divers instruments.
D’ici quelques jours, la fête de la Tabaski, Aïd el-Kebir, sera célébrée dans le monde entier par les musulmans. Au Sénégal, l’arrivée de cet événement heureux stresse certains pères de famille, mais aussi les hommes et femmes célibataires.
Reléguées, minimisées, secouées. Mais aussi combatives et débrouillardes. Autant d’adjectifs pour qualifier la femme en Afrique, en l’occurrence au Sénégal, mon pays. Je me lève chaque jour en voyant un peuple très ancré dans sa tradition. Une tradition très à cheval sur ses principes, surtout si ceux-ci concernent la femme.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le Sénégal a notamment servi de socle pour le ravitaillement de la France. À cette époque, une personnalité hors du commun s’est distinguée par son sens de l’humanisme : l’agriculteur Thierno Souleymane Agne.
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De purs hommes, roman de Mohamed Mbougar Sarr, est l’un des premiers de la littérature africaine à aborder frontalement le sujet de l’homosexualité. Le récit est bref mais il n’en appelle pas moins à la réflexion, sur un sujet qui reste tabou dans de nombreux pays.
Crédit: Depuis le début de la pandémie liée au nouveau coronavirus, mon cycle régulier de voyages a été interrompu. Avec la fermeture des frontières et aéroports, plus aucun mouvement n’est possible. Ce que n’a pas compris mon passeport qui a pris la décision de m’écrire.
Les MTN sont étroitement liées à l’hygiène individuelle et collective. Elles prospèrent avec la surpopulation et la promiscuité qui en résulte. Malgré l’érection de trois usines de traitement des eaux sur le lac de Guiers, l’accès des populations riveraines à une eau saine est encore la croix et la bannière.
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Crédit: Cela fait une semaine que tu es parti. Comme ça, de manière brute. J’ai cru que c’était une erreur. Une fake news sur Twitter. J’ai écrit à toutes les personnes qui t’ont tagué pour annoncer ta disparition. Je leur ai demandé si elles étaient sûres de cette information, si ce n'était pas une malheureuse confusion sur les Badou.Je priais au fond de moi pour que ça soit le cas pour toi : une grossière erreur sur le Badou. Mais en fait non, elles étaient toutes unanimes : "Badou est bien parti Madame” me répondaient-elles.
