Pas d’endroit où pleurer
En Afrique comme ailleurs, les manifestations au cours desquelles une partie de la population descend dans la rue ne sont pas toujours des succès. Parfois des gens meurent. Leur nombre est brandi par les médias, les analystes et une partie de la classe politique. Peu est dit par contre sur ceux qui ne sont pas « tombés », tués ou brisés à jamais ces jours-là. Pourtant, le lendemain et les jours suivants,…