Le 28 mai, une journée symbolique et « sang » tabou
Le 28 mai est la journée de l’hygiène menstruelle. En Afrique, dans le monde, la honte et les croyances liées aux règles nuisent au bien-être des femmes.
C'est triste d'être adulte en fait : on arrive à comprendre pourquoi, dans un contexte politico-sociolo-culturelo-(...) des massacres peuvent être commis. Mais les enfants, eux, ça ne leur dit rien, ça reste incompréhensible.
Au lycée bilingue de Deido, un élève a rendu l’âme à la suite de coups de poignard au cœur. Comme c'est souvent le cas, les Camerounais envahissent la toile pour crier leur ras-le-bol. Et les griefs sur la décrépitude de l'éducation font polémique.
Tout récemment, j’ai eu l’opportunité de former des lycéens au blogging dans le cadre du programme La Voix des Jeunes de l’UNICEF. Deux jours d’échanges riches en espoir et en promesse, de quoi remettre ma motivation sur les rails.
Voici une petite liste non exhaustive des préceptes de parité que je m’efforce de rappeler au quotidien à mes garçons. Quand je leur ai parlé de cet article, ils n’ont rien trouvé d’extraordinaire et donc ça leur parle. Mais juste après j'ai du les supplier pour sortir les assiettes du lave-vaisselle, et c’est la preuve qu’il y a encore du chemin à faire.
Quand on part de Madagascar pour étudier en France, il y a un assez important décalage entre ce qu'on a vécu dans le cocon familial et ce qu'on va devoir vivre tout seul (ou presque). A Madagascar, il est encore assez rare de quitter la maison familiale à la majorité ou après le bac. Souvent, les enfants ne quittent le cocon que lorsque leur mariage est prévu. Imaginez donc le changement !
Un produit innovant sur le marché ivoirien qui permettra aux élèves d’avoir accès à du contenu de qualité aligné sur le programme national pour réviser leurs leçons et apprendre via leur téléphone mobile ou ceux de leurs parents.
Plus d’une année est passée, depuis que le projet PECOBAT, financé par le Fonds fiduciaire d’urgence de l’Union européenne et mis en œuvre par le Bureau international du travail (BIT) les a présélectionnés et formés durant sept mois, dont trois mois de formation théorique et quatre mois de stage. Eux, ce sont plus d’une soixantaine de jeunes, garçons et filles, qui ont été initiés en maçonnerie-terre et en énergies renouvelables à Kaédi, capitale du Gorgol, à partir de décembre 2017.
La baisse de niveau au Tchad est en grande partie due au manque de livres et de manuels scolaires. Durant tout mon cursus, je n’ai jamais lu un livre. Mes lectures se résument aux révisions de mes cours, que j’ai écrits de ma propre main, qui ressemblent à des pattes de fourmis, et qui sont bourrées des fautes.
À Abidjan, le rideau est tombé sur l’édition 2018 du concours Prix Impact Éducatif. Que faut-il retenir du concours de cette année ? Beaucoup d'altruisme, de l'engagement, et surtout de l'espoir en l'avenir.
Les cours sont perturbés depuis un mois à Conakry et à l’intérieur du pays suite à la grève déclenchée par le syndicat des enseignants, qui réclame un salaire équivalant à 800 euros. Et l'attitude du premier ministre ne fait que radicaliser le débat... Les plus pénalisés dans tout ça, ce sont les enfants, qui devraient être en classe en train d'étudier !
On doit la naissance du code à une femme : Ada Lovelace. Mais depuis les années 1980, l'informatique est vue comme un métier d'hommes. Pourquoi y a-t-il encore trop peu de femmes dans les nouvelles technologies ?
"Pour une école qui nous rassemble au lieu de nous diviser" (2017), un livre qui aidera les dirigeants d’écoles et parents et même l’État à la construction d’une école qui nous rapproche, nous rassemble, nous unisse avec notre patrimoine culturel comme matériaux. Il faut que l’école nous instruise de notre histoire à partir de notre point de vue.