Pourquoi je hais ce brouillard berlinois
Il y a quelque chose de l’ordre de l’exceptionnel, du magique, à vivre de nuit à Berlin. Passé 1 heure, la fatigue a beau se rappeler à mes yeux, à mes jambes, aux frissons sur ma peau, il m’est impossible de gagner mon chez moi, de renoncer à cette nuit. De la même manière qu’il ne me viendrait pas à l’idée de me coucher à onze heures du matin, je…