Les marabouts 2.0
Quels sont les profils de marabouts 2.0 sur lesquels vous êtes déjà tombé sur Internet ?
Quels sont les profils de marabouts 2.0 sur lesquels vous êtes déjà tombé sur Internet ?
Hum, les habitudes de mes chers compatriotes ne cesseront jamais de me surprendre. Onong! Mais comme je suis moi déjà habitué, je fais avec. D’ailleurs, on va faire comment ? Ce dimanche donc, après une longue semaine de boulot, j’ai (comme à mes habitudes libres) décidé de rendre une petite visite de courtoisie à une de mes vieilles connaissances que je n’avais pas vue depuis trop longtemps; une mater androïde…
On dit souvent qu’on ne choisit pas là où on naît, c’est peut-être vrai mais je pense que ce n’est pas un hasard. En grandissant chacun de nous finit à un moment donné par s’adapter à son environnement. Et naître en milieu défavorisé n'est pas une fatalité.
Le 21 juin marque la célébration de la fête nationale de la musique. C'est l'occasion de faire une rétrospection sur l'une des spécialités du mboa: le makossa. Les pionniers de cette musique sont aujourd'hui méconnus ou du moins insuffisamment valorisés alors que cette musique a participé au rayonnement de la culture camerounaise à l'international.
Les jurons ? Poubelle !
Moi, si j’étais leader de l’opposition au Cameroun, voici ce que je ferais.
Faites de la musique comme ... faites de la musique simplement !
Pour beaucoup, la débrouillardise est la seule manière de survivre dans une société bousculée par tant d’inégalités et d’injustices, une société à deux vitesses. Quelle est donc cette société où tout le monde devrait être ministre, savant, médecin, prof, journaliste, avocat, magistrat, commissaire, commandant, ingénieur… Qui n’a pas de débrouillard dans sa famille dis donc ? Qu’il lève tout de suite le doigt !
L'enfer pour moi, et pour la plupart des femmes mariées, c'est de séjourner dans sa belle famille.
Dans la matinée du mardi 14 juin 2016, tranquillement assis sous ma véranda pour un petit déjeuner composé de beignets-bouillie-haricots, ma voisine de quartier, Russine, jeune étudiante à l’Institut des Beaux-arts (IBA) de Nkongsamba m’interrompe et lance subitement un cri strident semblable au son suraigu propre aux femmes au risque de me faire avaler de travers : « Bolloré est au Cameroun Wéééééé !!! ». J’ai d’abord cru à un recrutement qu’elle a…
Je ne peux compter le nombre de punitions que j'ai eues... cela qui a permis que le jardin du lycée voit le jour. Parfois, sans raisons, M. Onambélé nous punissait et il fallait venir le samedi matin avec des houes ou des pèles, mais aussi avec des plantes pour la promotion du bio. Voici aujourd'hui le résultat : un joli jardin au beau milieu de la cour !
Ici, certaines femmes prennent leurs maris pour des dieux. « S’il n’est plus là, je vais vivre comment ? », entend-on régulièrement. Mesdames, pourquoi pensez-vous que vous ne pouvez pas vivre si votre conjoint décide de vous quitter ? Imaginez-vous indépendante financièrement... imaginez-vous PDG !