CHANGEMENT – CHAOS : LE PEUPLE CONGOLAIS SUR LE QUI VIVE
Des voix s’élèvent pour rendre possible ce qui parait prévisible, voire irréversible. « On ne change pas l’ordre constitutionnel pour l’intérêt personnel » d’une part et le changement de la constitution du 20 janvier 2002 d’autre part. Une détermination que semble afficher le pouvoir en place qui, bientôt, va atteindre son point de non retour : la convocation du corps électoral, le vote parlementaire ou le dialogue national avec en toile de fond,…