Tchad : une femme nommée cheffe de village
C’est la première fois qu’une femme est nommée cheffe de village au Tchad. La décision fait débat, encore aujourd’hui, pourtant elle est courageuse et appelle à une évolution des mentalités.
Dans les amphis ou dans les salles de cours, il est très courant d’entendre des étudiants édictant des séries de mesures qui devraient être prises pour changer notre quotidien. Pourtant…
Découvrir l’Autre, ça ne se fait pas tous les jours sans inconfort, sans divergences, sans frictions, mais on sort grandi parce qu’avec l’Autre, on construit des projets solides, des projets faits de compromis, de prise en compte de la différence, des réalités quotidiennes et habitudes surprenantes qui, réunies, font notre richesse et notre diversité.
Mais il ne suffit pas d’être jeune pour représenter la solution. Ce sont les qualités morales et éthiques, les compétences intrinsèques de tout un chacun, et notre capacité à mettre l’intérêt général au-dessus du personnel qui font qu’une nation prospère. Les jeunes oui, mais ceux qui ont les compétences, la vision, la volonté.
Elle avait été repérée dans le métro un matin. Elle faisait partie de ces filles qui n’ont besoin de rien lui avait-on dit. Ce on était une elle. Melody. Elle s’était dit dès le début que ce n’était sûrement pas son vrai prénom. Cette femme devait s’appeler Brigitte. Ou Véronique. Elle ressemblait à une amie de sa mère qui s’appelait Véronique. Une femme aux cheveux éternellement blonds, aux yeux tirés, au fond de teint…
A la radio, à la télé, dans les journaux, sur Internet, au marché, à l’université, même à la morgue tout le monde aspire au changement et chacun croit être celui ou celle que le monde attend pour que cela soit. Pour s’accommoder à la navrante mutation de nos sociétés, de notre monde, imposée par nos envies capricieuses, nos habitudes de vies fantaisistes, nos quêtes égoïstes du pouvoir et nos courses effrénées vers l’argent, il faut aspirer au changement.
Il y a des matins comme ça Où l’on veut tout changer Partant de sa famille à son copain En passant par ceux qu’on connaît Tellement la vie nous dépasse Et ces matins nous rappellent à quel point on est malheureuse De faire partie de ce cercle Nouveau père ; nouvelle mère, nouveau copain C’est peut-être normal que ces phrases manquent de rimes Tout est incohérent dans ce que je vis…
Des voix s’élèvent pour rendre possible ce qui parait prévisible, voire irréversible. « On ne change pas l’ordre constitutionnel pour l’intérêt personnel » d’une part et le changement de la constitution du 20 janvier 2002 d’autre part. Une détermination que semble afficher le pouvoir en place qui, bientôt, va atteindre son point de non retour : la convocation du corps électoral, le vote parlementaire ou le dialogue national avec en toile de fond,…
«Le vendredi 21 novembre 2014, la numérotation téléphonique au Cameroun passe de 8 à 9 chiffres. Les abonnés Mtn, Orange et Nexttel ne pourront joindre leurs correspondants qu’après avoir ajouté le chiffre 6 devant les numéros usuels et ceux de Camtel le chiffre 2», tel est le discours tenu par l’Agence de Régulation des Télécommunications et le Ministre des Postes et Télécommunications il y a de cela trois mois. Mais seulement,…
J’ai débuté cette lettre par un bonjour, puis un bonsoir. Et après, un joyeux anniversaire pour vos 32 années d’usure de règne en longueur au pouvoir. Et finalement, j’ai décidé de vous l’écrire à ma manière. Sans protocole, un peu comme ce Cameroun que chacun dit aimer à sa manière. Vous aussi. Je l’aime d’ailleurs et je veux y rester.
Afrique, Afrique, belle Afrique mais énigmatique Afrique. Tes fils ont décidé de te faire mal, de te rendre sale, te punir, te nuire, ils ont décidé de te ruiner et te brûler, comme une enfant qui n’aime pas ses parents et en a honte.Leur attitude stupide est semblable à un parricide, cet acte dont se rendent coupables ceux qui en réalité, ne possèdent plus aucun signe d’humanité.
Depuis l’avènement de la démocratie pluraliste en 1991, le Gabon comme la plupart des pays d’Afrique francophone, a connu une prolifération vertigineuse des partis politiques issus de courants divers prouvant ainsi la volonté des Gabonais et des Gabonaises à participer au débat public. Toutefois malgré 23 ans de pluralisme politique, la nouvelle génération d’électeurs ne trouve toujours pas dans ces partis politiques le creuset de leurs espérances et idéaux.
J’en étais, comme beaucoup d’autres dans le monde, à attendre les résultats de cette course susceptible de m’ouvrir l’accès à ce prestigieux club de mondoblogueurs et ainsi, de réaliser un petit vieux rêve. En 1er lieu j’ai reçu un mail dont le contenu était bien une sentence sans appel : « … la sélection des blogueurs retenus pour la quatrième saison de Mondoblog. Malheureusement, vous n’en faites pas partie ».…
Mon rôle et mon pouvoir d’intervenante trouvent leur justification d’un fait qui m’a marqué pendant ma période de stage dans une école maternelle. Voici la présentation des faits tels qu’ils se sont déroulés. « Maman ne me laisse pas! Je veux partir avec toi ! », ainsi s’agitait la petite Vanina, s’agrippant à la jupe de sa mère qui était venue la laisser à l’école. Vanina est une petite fille…