Police ivoirienne : non mais raccroche quoi !
C’était l’une de ces matinées pourries où incapable de me sortir du lit, je ferme pour la énième le clapet à mon foutu réveil, qui n’arrête pas de me gueuler dessus à travers ses « dring dring », pour me rappeler que je dois me bouger les fesses, prendre ma douche et vaquer à mes occupations. Le sommeil est si doux parfois, surtout lorsqu’il fait un peu froid et que t’es sous la couette… Oh Seigneur ! Que ne faut-il pas sacrifier pour gagner sa vie !