Hypocrites, laissez Boko Haram tranquille !
Je sortais de chez moi, jeudi 15 mai autour du huit heures du matin, quand je butai devant ma porte sur la femme du gardien de mon voisin. Elle était tout de rouge vêtue et semblait très pressée. Je lui demandai où elle allait si hâtivement avec cet accoutrement inhabituel. Elle me répondit qu’elle se rendait à une marche de protestation organisée par des femmes maliennes pour réclamer la libération…