Mot-clef: Fake news

À quelques mois des élections présidentielles, la désinformation prolifère au Cameroun. Et devient un outil de manipulation politique à grande échelle.

À l’heure où les réseaux sociaux redéfinissent les relations entre citoyens, médias et pouvoir, les fausses informations (ou infox) se propagent à une vitesse alarmante. Déjà, lors des scrutins de 2019 et 2021, elles ont sérieusement ébranlé la stabilité politique et la cohésion sociale du Bénin.

À N'Djaména, des rumeurs sur des "vols d'organes génitaux" sèment la panique. Face à cette peur collective, un objet inattendu s'impose comme protection : le charbon de bois.

Le mois d’avril est l’occasion de jouer à mentir. Mais parfois, cette tendance s’étend tout au long de l’année… Alors, méfiance face aux affabulations en tout genre !

Les réseaux sociaux sont devenus l’arène d’une campagne toxique, orchestrée par le camp de Donald Trump et Elon Musk, contre les Haïtiens aux États-Unis.

Au lieu de diminuer à la source leurs émissions de CO2 pour limiter l’effet de serre et donc le réchauffement climatique, la plupart des acteurs se contentent de les compenser en constituant des stocks de carbone via la plantation d’arbres. Une idée reçue…

Vous êtes dépité par les incivilités sur Internet ? Elles prospèrent peut-être grâce à vous, malheureusement. Beaucoup parmi nous, en effet, financent la bêtise, les insultes, la diffamation et même les fake news…

L’implication des blogueurs ainsi que les professionnels de la presse en ligne dans la mise en œuvre d’un plan de communication pour faire relayer et passer différents messages d’intérêt public, pourrait contribuer à augmenter le taux de vaccination.

« On ». Vous savez ce pronom qu’on aime beaucoup utiliser à tort et à travers pour nous dédouaner des informations qu’on transmet. Court, mais qui comporte de nombreuses sources méconnues nous transportant vers des terres inconnues. Ces types d’informations (rumeurs) et de nouvelles dont on douterait bien de la véracité mais qu’on n’hésite pas, malgré tout, à partager. Et bien ce « on », il est partout aujourd’hui !

La rumeur au sujet de l’émanation des gaz du lac Nyos (Nord-Ouest Cameroun) et la célébration d’une journée de l’huile rouge dans deux régions administratives du Cameroun.

Le Covid-19 existe, circule et tue des gens. Certains ne semblent pas du tout y croire. Je l’ai observé dans ma province, le Kasai oriental en RDC.

Dix blogueurs de l’Association des blogueurs du Cameroun (ABC) viennent d’achever la deuxième phase de formation sur le fact-checking et les discours de haine sur internet. #Defyhatenow, avec le soutien professionnel de DataCameroun, associés à quelques journalistes, nous ont formés sur des techniques à adopter sur internet en période de crise.

Même s’il serait utopique de penser à l’élimination totale des propos haineux et des fausses informations sur les réseaux sociaux, nous pourrions tout de même conscientiser ceux qui s’adonnent à ces mauvaises pratiques.

Sous formes de rumeur, canular, propagande, théorie du complot, faits interprétés par des alternatifs ou des extrémistes… Les « fake news » connaissent curieusement un succès inquiétant au Cameroun. Les Camerounais en raffolent. Ils les adorent. Ils en ont font leur dada. Mais pourquoi ?

Rôle de la 5G, effets bénéfiques de l’ail, immunité des peuples vivant sous les climats les plus chauds… Retour sur toutes les fausses informations circulant sur le coronavirus.

Pour éviter le piège des fake news, voici des sources fiables pour les bonnes informations relatives au coronavirus au Cameroun.

En tant que cabinet de formation, INCFormation, s’engage et se joint à l’appel du gouvernement quant à la nécessité du télétravail.

La pandémie mondiale du Coronavirus frappe de plein fouet mon pays. A ce jour, nous en sommes à 165 cas confirmés avec 4 guéris et 1 mort. C’est trop ! Cette situation crée la psychose.