La poétesse de Dieu, de David Kpelly : rien n’arrête les mots, ni le désert, ni la mort !
Le roman est clairement un des meilleurs romans togolais de ce début de décennie. Je ne sais pas combien de mois ou d’années il aura fallu à l’auteur pour travailler et ficeler son texte – affiner ses personnages et leur donner une vie propre (on y revient plus bas) – mais le travail se respecte.