Categorie: Togo

La 4e édition du Festival international des Lettres et des Arts (Festilarts) a lieu du 25 au 28 août à l’Université de Lomé. Le thème central du festival cette année est lié à l’actualité : « L’ombre des choses à venir : in/certitudes & créations en période de confinement ». Différentes disciplines sont accueillies pour un partage d’expérience entre créateurs, mais aussi pour proposer de la formation. Un programme riche pour des échanges fructueux autour de la littérature, de la poésie, du théâtre et de la création artistique.

En Afrique, les veuves devraient pouvoir obtenir des droits. La situation des femmes qui ont perdu leurs conjoints est parfois extrêmement difficile, voire inhumaine, sur le continent. Au Togo, dans les milieux ruraux et urbains, les femmes - principales actrices du foyers- sont souvent sous informées, et par conséquent marginalisées. Ainsi, après le décès de leur mari, les veuves basculent dans la misère et souvent, elles sont victimes de tous les maux de la vie communautaire.

Le Projet de développement rural de la plaine de Djagble (PDRD) est un projet ambitieux lancé depuis plus de 3 ans maintenant. Objectif ? L’amélioration des conditions de vie des populations de la zone. Et ce, à travers la promotion des cultures rizicole et maraichère, la pisciculture et l’élevage.

On le surnomme le sculpteur des Géants. Ses instruments de travail sont du bois, du fer, du bronze, de l’aluminium… Goha Attiso nous livre le dessous de ses cartes sculpturales. Rencontre.

Togo, région des plateaux. A environs 180 km au Nord-Ouest de Lomé, une petite merveille au milieu des montagnes : Sodo. A l’assaut de ces sommets verdoyants, ma sœurette, Da-Koélé, moi et notre petit garçon, K.

Parfois pour des raisons connues ou non, certains aliments nous sont interdits à la consommation. Cela peut être lié à notre communauté, à notre classe sociale ou à nos traditions familiales.

Le 4 juillet, les habitants du village d’Agobaba (localité située à 70 kilomètres de Lomé), ont assisté à l’inauguration d’un puits. Un soulagement pour eux, à voir comment ils disent souffrir du manque cruel d’eau potable.

La dot demeure un combat pour notre génération. A mes yeux, la dot est un moyen mis en place et maintenu pour empêcher les jeunes femmes de s’épanouir pleinement.

Mon identité est construite autour de mon nom et de ma langue. Lorsque ces deux colonnes de l’architecture identitaire sont en place, d’autres éléments s’y greffent. Mais lorsqu’au nom de l’émancipation, on donne un nom étranger, on adopte une langue étrangère, alors, c’est une culture qui fonce dans le brouillard.

À quoi reconnaît-on un moine ? Au Kesa qu’il porte, plusieurs diraient. Mais l’apparence suffit-elle à faire un moine ? Ne serait-il pas trop facile de verser dans ce type de conclusion sans prendre le temps d’analyser la situation ? Je vous raconte une petite histoire.

Des gouttes d’eau dégoulinent à n’en plus finir sur le pare-brise. Les essuie-glaces ne savent plus où donner de la tête. Derrière nous, les montagnes se profilent au loin, auréolées de brume et de mystères.

« Participation citoyenne à la lutte contre la corruption et aux assimilées » : ce thème a rassemblé la population de Sotouboua, vendredi 27 mai 2021. La rencontre était organisée dans le cadre de la campagne nationale de lutte contre la corruption, menée par la Haplucia.

La toute première édition du Festival des AmArou vient de connaître son point d’orgue. Ce festival fait le pari de contribuer à la démocratisation de l’éducation artistique et culturelle au Togo.

L’école primaire publique Diguengué, dans la commune Blitta 3, a bénéficié ce mardi 25 mai 2021 d’un bâtiment scolaire flambant neuf composé de trois salles de classe.

Trente participants des coopératives et groupements agricoles des femmes de Sotouboua ont bénéficié d’un atelier régional d’information sur les Zones d’aménagement agricole planifié.

La quatrième édition du «27 avril, s’il m’était chanté», a tenu toutes ses promesses. Le Chœur de l’Unité Togolaise a encore séduit avec beaucoup d’innovations.

Le 27 avril, c’était hier. Il y a 61 ans, le président Olympio disait haut que le Togo était enfin libre et souverain. Cette victoire sera entachée 3 ans plus tard. Néanmoins, elle a encore été célébrée cette année. Qu’y a-t-il eu de nouveau ?

Il y a 61 ans, notre cher pays le Togo, appelé l’or de l’humanité par Alex Casimir Dosseh, a accédé à l’indépendance internationale. J’aimerais saisir l’occasion pour formuler quelques vœux à l’endroit du pays mais aussi de ses citoyens.