Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise
* Même si je sais que tout fout le camp, je suis heureuse. Une joie indicible emplit mon coeur et mes artères. Pourquoi suis-je heureuse alors que je devrai joindre mes deux mains et pleurer à chaudes larmes? Je ne saurai le dire. Mais dans cette amitié perdue, cette relation amoureuse brisée ou ce parent malade, dans ce temps qui passe et qui me vieillit au compte-goutte (ou pas si…