Categorie: Opinion

L'état du monde plombe autant une journée que la notification vous rappelant votre rendez-vous pour une coloscopie.

Avec l'essor de l'IA, le blogueur Renaud Dossavi s'interroge sur le risque que la société se fracture entre les détenteurs des technologies et une majorité dépossédée de ses moyens de subsistance. Le grand défi de notre époque, selon lui.

« D’entrée de jeu, j’aimerais préciser que cet article ne saurait tenir lieu d’un appel à une quelconque révolte, à une quelconque manifestation, sitting, ville-morte ou tout autre type de protestation populaire servant à marquer un désaccord face au pouvoir en place au Togo. »

La béninoiserie est certainement l'un des termes les plus péjoratifs attribués aux béninois. Médisance, coups bas, sorcellerie… D'où vient cette expression et ce mythe sur la méchanceté des béninois ?

Lorsqu’il y a conflit entre deux personnes, la solution se trouve souvent sous leurs yeux. Elles le savent, mais elles continuent à alimenter le conflit. Chacun continue soit pour montrer qu’il n’est pas vaincu, et prétendre qu’il a raison ; soit pour éviter d’avoir l’impression d’être jugé, et prétendre qu’il n’est pas vraiment coupable. Bref on n’en sort pas ! Je me rappelle avoir lu quelque part ceci : « Il faut choisir entre avoir raison et vivre heureux : c’est le secret pour vivre en paix ».

Couverture super méga belle, titre plus qu’intrigant et troublant, je me suis laissée séduire sans hésiter par le roman « My sister, the serial killer », d’Oyainkan Braithwaite. Je vous livre mon avis dans ce billet.

Le titre sonne comme un livre de conte pour enfants mais la Ferme des animaux est l’une des meilleures satires politiques jamais écrites. Le récit est plein d’humour, écrit avec beaucoup d’élégance.

L’accumulation des faits divers montre que les Camerounais aiment beaucoup les inutilités. Et qu’ils vivent dans une République du japap, au lieu de se préoccuper des vrais problèmes…

Il n’existe pas de manuel décrivant la procédure à suivre pour faire son deuil. Que se soit la perte d’un ami, d’un collègue, d’un membre de sa famille ou de son animal de compagnie, cela engendre en l’être humain un vide.

Le président haïtien Jovenel Moïse brutalement assassiné, chez-lui, par des mercenaires. Un peuple choqué qui veut des réponses. Un gouvernement « de facto » qui demande l’aide internationale pour une enquête qui le dépasse.

Est-ce le poids des ténèbres qui m’oppressent ? L’ombre qui pousse sur mon esprit pour s’emparer de ce qui n’est pas sien ? La noirceur qui tel du goudron essaie d’enduire mon être ?

Casque sur les oreilles, musique rythmée, je me laisse bercer par la mélodie de « Wari » d’Alpha Blondy, surfant sur la vague de ses paroles « Qui a dit que l’argent ne fait pas le bonheur ? » et ca me fait tressauter. L’on ne pourrait le nier, l’argent occupe aujourd’hui une place prépondérante dans nos vies. Mais jusqu’à quel point ?

La liberté n’est pas un choix mais un droit. On ne peut comprendre l’existence d’un homme qu’à travers sa capacité à être libre.C’est le premier pouvoir dont dispose un être humain. Il doit avoir la possibilité de choisir non seulement d’être qui il veut être, mais aussi la possibilité d’être où il veut être, comme il veut y être.

On trépigne d’impatience, on croise les doigts pour transitionner en douceur, on se donne de nouveaux objectifs… Oui, c’est bien le nouvel an qui nous fait frétiller de la sorte, et le bilan du réveillon qui nous pousse à atteindre rapidement la nouvelle année.

Nous vivons dans une société alcoolisée où l’eau minérale est proscrite. Et pourtant on peut profiter de la vie sans se soûler …

Les humains n’arrivent plus à voir la beauté dans le Naturel. Il n’y a plus de place aux défauts et imperfections, et pourtant ce que vous appelez maintenant « défauts » sont en réalité ce qui vous définit, ce qui fait votre identité et vous distingue des autres.

L’administration tchadienne à l’instar de celles des autres pays francophones est bondée des fale fonctionnaires, détenteurs des faux diplômes « obtenus » dans des pays lointains et dans des conditions douteuses ou à l’aide des informaticiens véreux (qui les leur délivrent), tiennent la Fonction Publique en otage et barre la route aux vrais diplômés qui n’ont d’autres choix que de moisir dans les ténèbres du chômage.

Pendant un paquet d’année, je me suis mis à croire à toute une volée de mots qui donnaient du sens à mes engagements : justice, liberté, dignité, respect, solidarité, antiracisme … Tout cela sonnait bien réel à mes oreilles