Noël, nouvel an : lettre d’un jeune migrant clandestin à sa grand-mère
Un migrant clandestin écrit à sa grand mère à l’occasion des fêtes de Noël et du nouvel an. Une lettre, fruit de mon imagination. Pensons aux migrants en détresse…
Mon histoire se déroule entre 1997-1998. Je vivais à Uvira, une petite ville située dans l’est de la République Démocratique du Congo, longée à l’est par le Lac Tanganyika et à l’Ouest par une chaîne des montagnes, la chaîne des Mitumba. La ville venait d’être libérée par l’armée de Mzee Laurent Désiré Kabila.
Ce concours est organisé par le partenariat de Ouagadougou, en collaboration avec Population Council depuis 2014. Il permet de valoriser les informations relative à la santé sexuelle reproductive et à la Planification Familiale. Il met en exergue la contribution des journalistes et des blogueurs dans les 9 pays membres du Partenariat de Ouagadougou.
Solidarité et coopération font prospérer l’activité de transformation de soja en tofu de Blandine Dognon à Glazoué, dans les Collines au Bénin. Grâce à sa coopération avec quelques membres proches de sa famille et de son voisinage, elle crée du mieux-être dans sa communauté.
Le cœur à rire et à pleurer, de Maryse Condé, est une autobiographie touchante de vérité et de simplicité. Scindé en plusieurs chapitres indépendants, ce récit relativement court questionne sur des thématiques essentielles telles que la race, la famille ou encore l’éducation.
L’écrivain américain Mark Twain a écrit un jour : « je peux vivre deux mois sur un bon compliment ». Et il est loin d’être le seul être humain à se sentir ragaillardi par la gratitude ainsi exprimée. Surtout lorsqu’ils tombent d’une bouche dessinée aux traits de la sincérité.
« Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille applaudit à grands cris », disait Victor Hugo. En Afrique, c’est l’un des premiers souhaits des familles. Mais lorsque le bébé ne vient pas, la faute est rejetée sur la femme, bien souvent malgré elle.