Oui je parle français, mais je suis d’abord africain
Mais quel pied de nez réussi à la veille de la Journée de la Francophonie ! Les parlementaires béninois n’ont sans doute pas pensé à cette portée symbolique de leur dernière modification portée à la loi électorale. En faisant inscrire dans la loi que les candidats aux élections locales n’avaient pas à savoir lire et écrire le français, les députés béninois ont rendu justice à ces milliers de Béninois et Béninoises,