« Cher collègue, bienvenue en enfer » (Deuxième partie)
Malgré les efforts que j’ai faits pour arriver à la gare très tôt, je n’ai pas pu voyager immédiatement. Ce n’est que vers 9 heures que le bus qui me conduit vers Ébolowa dans le Sud Cameroun quitte enfin la gare de Yaoundé. Malgré ma position très inconfortable, je parviens tout de même à m’endormir. Pas pour longtemps.