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Clker-Free-Vector-Images / Pixabay CC Ce n’est pas la première visite d’un président français à Yaoundé sous la présidence Biya. Et ce n’est sans doute pas la plus solennelle. La première fois où Biya reçoit un chef de l’État français, en qualité de président de la République, c’était les 21 et 22 juin 1983. Emmanuel Macron avait alors seulement 5 ans.
Dans un extrait viral qui circule en boucle sur les réseaux sociaux, le président Macron a reçu une gifle de la part d’un jeune homme dans la Drôme. Voyant ce scénario, je me suis donné une vision générale à l’africaine. Nous allons tout reprendre, dans tous les angles possibles.
Le sentiment antifrançais que l’on prête depuis peu à certains pays d’Afrique, se développe et gagne du terrain. Les propos d’Emanuel Macron le 22 octobre 2020 sur les caricatures et l’islam, ont exacerbé les tensions un peu partout. Au Mali, en Mauritanie, au Sénégal, des musulmans ont manifesté publiquement pour l’honneur de leur prophète. Mais ici en Egypte, à défaut de manifestants dans les rues, c’est plutôt des initiatives individuelles…
Sit-in de protestation, appels au boycott des produits français… Les Mauritaniens s’indignent face aux propos d’Emmanuel Macron, annonçant que la France poursuivra la publication « des caricatures » blasphématoires contre le prophète Mohamed.
Crédit: La sortie du président français, Emmanuel Macron, vendredi 2 octobre 2020 lors de la présentation de son plan d’action contre les séparatismes, en particulier celui de l’islamisme radical, a créé un tsunami dans certains milieux en Mauritanie.
Monsieur le président de la République française, notre ancien compatriote, nous sommes honorés par vous à travers cette cérémonie de commémoration qui nous a été destinée, sur le lieu de notre décès, à l’ancien site du lycée Descartes de Bouaké, ce 22 décembre 2019 !
Crédit: Lors du sommet du G20, le président français, Emmanuel Macron, a déclaré (en substance) que l’Afrique souffre de sa masse démographique. Une déclaration, dont les propos exacts, sortis quand-même du contexte initial, ont enflammé les réseaux sociaux. Macron, a-t-il raison ?
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