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Au Tchad, le ramadan de cette année sera particulièrement affecté par les mesures sécuritaires et sanitaires du gouvernement.

Le coronavirus est une pandémie de l’ombre. Pourquoi ? Parce qu’elle entraîne un recul de l’attention et des soins médicaux portés aux femmes et aux enfants.

Malgré les désastres causés par la pandémie Covid-19, les mesures barrières prescrites par l’OMS et le gouvernement camerounais trouvent toujours des résistances au sein de l’opinion populaire au Cameroun. Voici comment les contourner pour mieux se protéger.

Dès que j’entends le mot Ebola, je me rappelle encore de ces moments douloureux qu’à traversé mon pays la Guinée, courant 2014 et 2015. Les journées les plus longues de ma vie jusque-là. En voici le récit.

Depuis le début de l’épidémie, plusieurs mutations du Sars-Cov-2, le virus responsable de la Covid-19, ont fait leur apparition. Cependant, deux variants apparus ces derniers mois, inquiètent plus que les autres. Ils semblent tous deux se propager plus vite et personne ne peut assurer qu’ils soient moins virulents, ni même que les vaccins tout fraichement sortis de l’usine seront efficaces contre eux.

Au Mali, les chiffres sur le taux de contamination à la Covid-19 au Mali font froid dans le dos. Pourtant, une partie de la population refuse de croire à ce virus.

Le Cameroun fait face à un manque d’hygiène inquiétant. Toilettes, latrines, eau potable, tout est à faire ou à refaire. Coup d’œil sur ce tableau dramatique.

C’est ironique de parler du masque comme une carte d’identité nationale. Mais cela semble vrai, et même plus important que les pièces d’identité en cette période de pandémie de Covid-19. Mon masque, ma liberté.

La pandémie du coronavirus fait de moins en moins peur en Egypte. Commerces, Mosquées, cafés et bars-chicha s’ouvrent désormais à des heures réglementées et avec certaines restrictions. Mais pour beaucoup, rien ne sera plus comme avant car le Covid-19 a apporté des changements inopinés…

Depuis l’officialisation du coronavirus, et surtout l’instauration du couvre-feu, tous les lieux publics sont fermés, sans exception, même pour les lieux de cultes. Mais ce qui est exceptionnel, c’est le fonctionnements des lieux des travailleurs du sexe, isolés du grand monde…

L’arrivée du coronavirus a bouleversé les médias au Bénin. C’est le cas à la radio et télévision du Bénin à Parakou, une chaine du service public. Pour lutter contre la propagation de la Covid-19, la direction a complètement modifié les conditions de travail des journalistes.

Ceux qui ne croient pas encore à l’existence du coronavirus dans le septentrion du pays, se méprennent. Des personnes ayant souffert du mal dans le Borgou témoignent après leur guérison. Quelques-unes l’ont fait à visage découvert le dimanche 19 juillet 2020 à Parakou. Parmi eux, Hermine Fatombi Gbénou, agent de santé à Parakou.

Pour le vaccin chinois qui est en tête de liste, il a déjà validé les phases 1 et 2 des essais cliniques, prouvant son innocuité et son efficacité. Logiquement il devrait entamer la phase 3; une phase sensée durer 1 à 4 ans. Mais selon la logique de qui, vous dirait Mao? Parce que la Chine a tout bonnement zapper la Phase 3 et entrepris d’utiliser son vaccin directement sur…

Non, pas encore… pas encore la quarantaine, la distance, la méfiance… On commençait à peine à tolérer une présence à moins d’un mètre de nous !

À l’heure du Covid-19, le Conseil de Sécurité de l’ONU demande une trêve de 90 jours afin de faciliter l’assistance internationale aux populations. De quoi être très sceptique.

A Lubumbashi, la hausse du taux de létalité serait provoquée par trois facteurs confus : la Covid-19, le choléra et l’empoisonnement. Dans la plupart des cas de décès recensés, un problème de détresse respiratoire s’est révélé.

Si nous voulons éradiquer cette pandémie dans notre nation, nous nous devons de protéger ceux qui sont en première ligne pour apporter la solution sanitaire. Donc protéger le corps soignant avec du matériel adéquat doit être la mission de tous.

Des incendies en Australie, les prémices d’une troisième guerre mondiale avec la mort du général Soleimani, la pandémie de la Covid-19 et maintenant une révolte bien vénère après le meurtre de George Floyd par la police américaine. Y a pas à dire, 2020 sera une année ou il y aura des dates à retenir, particulièrement pour les étudiants qui n’ont pas encore passé leurs examens 👨‍🎓Pourtant on est qu’en juin…