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Pendant cette période marquée par la pandémie du coronavirus, les Congolais ont été invités à observer des mesures dictées par l’Etat pour stopper la propagation du virus. Si leur mode de vie a nettement changé depuis plus d’une année, leur vocabulaire a été aussi bien enrichi.
La deuxième vague de l’épidémie de Covid-19 frappe Madagascar de plein fouet et elle risque d’être plus meurtrière. Pour le monde de l’éducation, les dégâts du confinement et des restrictions sanitaires ne sont pas encore pansés.
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Ceux qui ont trouvé le secret du bon confinement s’expriment sur les réseaux sociaux. L’Haïtien en moi les regarde du coin de l’œil. Comme si inévitablement, il fallait trouver une solution à tout. Pourquoi ne peut-on pas se contenter d’avancer ensemble dans le noir, dans l’incertitude ?
Crédit: Dans cette création sonore, je voulais faire entendre ces vies pour lesquelles le confinement n’a pas été des vacances, ou un temps de désœuvrement délicieux, avec la personne aimée ou en famille, où l’on peut s’adonner à la musique, au yoga, à la cuisine.
Crédit: Durant la période de confinement, j'ai fait un saut dans le temps en redécouvrant, dans de vieux cartons, un recueil de contes que m'avait offert mon père, il y a de cela 16 ans. Ce livre qui m'a pourtant apporté tant de joie quand j'étais enfant.
Crédit: Au Niger, les lycéens vont devoir boucler le programme scolaire avant le baccalauréat prévu le 17 août. Je connais un jeune garçon dont la vie quotidienne a été bouleversée et les études menacées par la fermeture de son établissement scolaire.
Le 19 mars, la direction de l’Institut Français annonce par un communiqué la suspension de leurs activités. Toutefois, pour continuer à gâter les habitués de ses programmes culturels, l’Institut Français du Tchad s’est tourné vers une production de spectacle 2.0.
Crédit: Au Niger, la majeure partie de la population est jeune. L'épidémie de Covid-19 et ses conséquences ont ainsi eu un impact considérable sur la vie des jeunes. Je suis allé à la rencontre de lycéens de Tahoua, réunis autour du thé à la fada, à côté de chez moi.
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Crédit: Le confinement au Brésil n'est pas chose facile. Il y a ceux qui arrivent à bien gérer et les autres. Le quotidien devient une dans curieuse, une danse à l'envers qui veut que l’on médite sur nos habitudes. Si la Covid-19 vient nous faire danser la danse de la peur et de la mort, nous, on peut lui apprendre à danser celle de la solidarité et de la victoire. À nous de choisir, soit la suivre, soit l'affronter humainement et dignement. Alors, allons-y, en piste !
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