Ma semaine de digital détox
Je suis devenu de plus en plus accro à mon smartphone et cyberdépendant. Alors j’ai décidé de prendre une pause.
Je suis devenu de plus en plus accro à mon smartphone et cyberdépendant. Alors j’ai décidé de prendre une pause.
Les témoignages qui suivent vous sont livrés avec le moins de filtres possible, ils sont une prise de note à la volée de la traduction simultanée de Jean-Baptiste Bizimana, directeur de l’association Modeste et Innocent à Huye.
C’est un sujet grave mais très peu évoqué, surtout dans nos sociétés. Et c’est dommage. L’ignorance est en très grande partie à indexer. Mais pas que. Entourer de pudeur une réalité qui a la capacité de rendre socialement inapte une femme plusieurs jours par mois, est ridicule. Je pense que c’est avant tout une question de santé. Alors parlons-en
« Ils eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours ». Cette fatidique phrase qui retentit à la fin des films d’amour ou des histoires de princesses reste, la plupart du temps, loin de nos réalités. Il est clair que cette jeune dame n’a pas eu la chance de vivre une histoire d’amour parfaite comme celles des romans à l’eau de rose ou des téléfilms. Suivez son histoire.…
Dans ce récit fictionnel, je prête ma plume à Wouri Boly, une veuve vivant dans un village situé dans le Cercle de Youwarou, région de Mopti. Cette femme a vu sa vie se transformer en cauchemar le jour où des terroristes ont attaqué son village.
Ceux qui ne croient pas encore à l’existence du coronavirus dans le septentrion du pays, se méprennent. Des personnes ayant souffert du mal dans le Borgou témoignent après leur guérison. Quelques-unes l’ont fait à visage découvert le dimanche 19 juillet 2020 à Parakou. Parmi eux, Hermine Fatombi Gbénou, agent de santé à Parakou.
A l’âge de 10 ans, alors qu’on pensait y aller pour voir la famille, nous sommes allées au fouta pour y être excisées. Nous avons été mises à l’écart pendant plusieurs semaines, pour être formées pour devenir de bonnes maîtresses de maison, avant de passer à l’épreuve finale.
Dans les sociétés africaines, la femme est considérée comme une « donneuse de naissance » automatique, à un tel point que celle qui n’a pas d’enfant est vue comme une moins que femme. Mariée, la femme doit enfanter ; sinon elle est répudiée par son époux. Une femme chanceuse devra juste supporter d’avoir une coépouse qui fera des bébés à sa place, pour le grand bonheur de leur époux commun. Célibataire, on vous juge sur la base de votre âge apparent. « Elle est déjà quand-même vieille hein ! Il faut qu’elle accouche, même si elle n’est pas mariée ! »
La fibromyalgie, la connaissez-vous ? Certainement pas pour beaucoup d'entre-vous. C'est une maladie très méconnue du public. J'en ai entendu parler comme ça en passant sans prêter la moindre attention il y a un an. Le 07 juillet 2017, je venais de la découvrir en vrai. Patricia Bakalack, en souffre depuis 3 mois. Elle a décidé de sortir de sa réserve et de partager sa souffrance et sa nouvelle vie avec la fibromyalgie.
Je suis convaincu de ce que la chance ou la providence n’est point fortuite, elles sont le résultat de forces métaphysiques qui dépasse notre entendement. La chance ne sourit qu’à celui qui y croit. Mais y’a des événements qui arrivent et vous forcent à prendre conscience de ce qu’il ne s’agit plus du fruit de la chance ou du hasard mais d’une préscience. La prescience est la faculté de savoir ou de connaître d’avance ce qui va se produire ou exister.
En Méditerranée, un drame en suit un autre. Au lendemain du naufrage du 6 septembre 2012, la Tunisie se réveillait avec la disparition de près de 80 citoyens dans la mer Méditerranée qui la relie à l'Europe. Plus de deux ans après ce drame, la mère d'un disparu attend la vérité de la part du gouvernement.
Intimidations, pressions de toutes sortes entre groupes frères, chacun est chauffé à blanc. Des tractations, des discussions, dans tous les campements, dans les villages… Il faut en sortir, de ces souffrances qui n’en finissent plus, mais comment rester serein après des années d’humiliations, de pouvoirs, d’alliances et contre-pouvoirs?
J'ai passé plus de 14 ans à l’école. J'ai trimé, après bien de péripéties à l'examen officiel : bac 1, recalé, bac 2 et bac permanent. Enfin j'ai mes diplômes de fin d’études classiques. Après cela, que faire ? Il n'est pas facile d'intégrer l’université d’Etat. Un concours de plus de 3 000 postulants pour 150 ou 200 places. Et les universités privées sont trop chères. Je ne dois même pas y penser, faute de moyens économiques.