Covid-19 : Comment les internautes burkinabès trollent la maladie
Des internautes burkinabès ont décidé de rire du coronavirus. Florilège.
Des internautes burkinabès ont décidé de rire du coronavirus. Florilège.
Le département de médecine de l’Université de Ouaga I a de quoi décourager les futurs médecins du Burkina Faso.
Le Président burkinabé renonce à son salaire : une mesure symbolique qu’on peut saluer, mais qui n’est pas encore à la hauteur de la population. Vraie tentative de se montrer solidaire ? Ou populisme ?
Alors que le pays des hommes intègres est représenté à Conakry, pour la Mara'CAN 2019, de jeunes maracaniers de la ville de Bobo Dioulasso, la deuxième ville du pays, s'expriment sur la place qu’occupe le maracana dans leur quotidien.
Dans chaque groupe ethnique il y a des instruments de musique traditionnelle. S'ils peuvent se ressembler par leur aspect et même par leur nom d’appellation, leur utilisation varie cependant d'un groupe à l'autre. La façon que les musiciens ont de tenir leur instrument pour jouer et le son produit diffèrent.
Ce texte n'est ni un sermon ni une satire de la société ouagalaise. Il doit se lire comme l’expression des rêveries fantasmées d’un homme décousu. Si vous voulez, c’est en quelque sorte une ode à notre ville-capitale Ouagadougou, précisément à sa géographie modale.
Jusque récemment Bobo Dioulasso était le centre de la culture au Burkina Faso, mais aujourd’hui la richesse culturelle du pays est en train de s’effriter. La peinture n’a pas encore basculé dans le professionnalisme et le statut du peintre n’évolue pas au Burkina Faso.Dans ce pays, on n’a pas conscience des avantages que pourrait apporter la peinture à l’économie et à l’image même du pays. Il faudrait que nos autorités aient une vision et mettent en place des mécanismes qui permettent à une nouvelle génération d’artistes de faire connaître leur art à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Dans la lutte contre le terrorisme au Burkina Faso, les médias ont tendance à prioriser dans leur agenda les défaites des forces de défenses et de sécurité (FDS) burkinabè plutôt que leurs victoires. On nous parlera de la règle du train qui arrive en retard... Et pourtant dans ce nouveau contexte, le paradigme doit changer.
Le mardi 28 novembre 2017 marquait le début de la tournée Africaine d'Emmanuel Macron. Ce premier discours dans un amphithéâtre rempli d'étudiants Burkinabés était très attendu. Et croyez moi, personne n'a été déçu.
La réaction, le comportement et les lointains propos d'un fonctionnaire français, prononcés il y a une trentaine d'années à l'occasion de la mort de Thomas Sankara, et dont je me souviens encore, peuvent-ils créditer les soupçons, maintes fois évoqués, d'une main noire comme celle de la France qui aurait trempé dans l’assassinat de ce dernier ?
Installée depuis 1983, la population du village de Kounkoufouanou (situé à 70 km de Fada N’Gourma chef-lieu de la province du Gourma dans l’Est du Burkina)est désormais des sans domiciles fixes (SDF). Le village est situé sur l’axe Fada-Frontière du Bénin. Les habitants ont été déguerpis un beau matin de juin 2015. Ils ont fui leur localité laissant tout derrière eux. Aujourd’hui, ils demandent au gouvernement burkinabè de respecter leurs droits…