Mali : voici pourquoi on mettait des jarres d’eau devant les maisons
Au Mali, nous considérons que ce qui est à soi est aussi pour toute la communauté. Quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
Mais il ne suffit pas d’être jeune pour représenter la solution. Ce sont les qualités morales et éthiques, les compétences intrinsèques de tout un chacun, et notre capacité à mettre l’intérêt général au-dessus du personnel qui font qu’une nation prospère. Les jeunes oui, mais ceux qui ont les compétences, la vision, la volonté.
Depuis quelques jours l'autobiographie de Mamadou Igor Diarra, intitulé "C'est possible au Mali" fait le buzz, au point qu'il y a rupture de stock dans les librairies de Bamako. Une fois ouvert, il est difficile de s’arrêter. L'auteur se livre, parle de lui sans faux-fuyant et assume ses choix. Rarement on a vu un haut responsable malien lever tant de voiles sur sa vie, son parcours et son expérience dans la gestion des affaires étatiques.
Le Mali accueillera pour la première fois les célèbres conférences TEDx, connues à travers la planète visant à promouvoir le potentiel et le dynamisme malien, donner la parole à des hommes et des femmes qui se battent pour donner un sens à leur vie, à faire tomber les barrières, à créer leur propre ‘’demain’’.
Ce n’est plus un secret pour personne ! L’affluence de l’internet a bouleversé notre quotidien. Désormais, tout est faisable à travers son téléphone ou son ordi : payer ses factures, faire des achats, réserver une chambre d’hôtel ou billet d’avion par exemple. Ces dernières années la vente en ligne s’est remarquablement développée, surtout avec les réseaux sociaux. Voitures, appareils électroménagers, vêtements, chaussures, parfums etc… tout se vend sur internet. Acheter…
Pendant plus d’une demi-heure, Aminata n’arrivait pas à enfanter. Elle enchaînait les contractions depuis longtemps, mais rien. Les femmes autour d’elles pensaient que ce n’était pas l’enfant qui refusait de sortir mais plutôt Aminata qui ne se donnait pas à fond. On l’encourageait mais toujours rien. Après beaucoup d’efforts, tout le monde avait dû se rendre à l’évidence. L’enfant ne refusait pas de sortir. La fille se donnait également à fond. Le problème n’était pas là. Le bébé ne pouvait pas sortir parce que le bassin d’Aminata n’était pas assez large pour le laisser passer. L’ultime recoure était donc une césarienne pour éviter que le bébé ne meure asphyxié. La crainte d’Aminata devint énorme. Elle s’est quand même dit que si l’opération se passait mal, ce ne serait la faute à personne car elle était maintenant dans la peau d’une résignée, aux formules remplies de bondieuseries. Ce ne serait ni la faute de sa mère, ni celle de son père. Ni de ce mariage forcé auquel on l’a soumise. Pas de responsables. Le destin. C’est tellement plus simple. C’est tout simplement Allah qui l’a voulu ainsi. Aminata n’a pas oublié les paroles de sa mère qui lui avait toujours répété que tout ce que lui Allah fait est bon.
Vous n’avez jamais entendu parler de la ville du Meguetan ? Koulikoro ça vous dit ? La deuxième région du Mali a abrité la plus grande rencontre nationale : la convention nationale des jeunes citoyens actifs de la Jeune Chambre Internationale. En bloggeuse passionnée de voyages, de découvertes et de culture, j’ai encore pris plaisir à prendre avec moi mes éternels amis : stylos, calepins, appareil photo pour vous faire…