Ouverture de la Mara’CAN 2019, la Coupe d’Afrique des nations de maracana
À l'occasion de la Mara'CAN 2019, l'équipe de Mondoblog s'envole pour Conakry.
Il n’y a pas ce Malien qui est satisfait des services d'EDM SA (Energie du Mali), le principal fournisseur d’électricité du pays. Les délestages* couplés au coût élevé de l’électricité ainsi que la couverture qui ne s’étend qu’aux grandes villes harassent les citoyens, ralentissent l’émergence économique, technologique et industrielle. D’où l’appellation « Énergie du Mal ». Mais il y a une solution pour assurer l’accès à l’électricité sans coupure à tous les maliens.
Sur le nombre de femmes maliennes, 0,0013% seraient détenues dans la prison des femmes à Bolé. Ce sont approximativement 130 femmes qui sont incarcérées dans cette prison qui leur est dédiée. Du côté de leurs droits en milieu carcéral, même si des efforts ont été consentis, de nombreux défis restent encore à relever.
Faites passer le message à la ministre : la route de Kalabancoro, au sud-est de Bamako, est un véritable merdier. Au lieu d’une route élargie, nous en avons eu une étroite où conduire est devenu un enfer.
Il est arrivé un moment où, quand on parlait du Radisson Blu Bamako, ce sont les attentats survenus en 2015 qui étaient évoqués. Mais l’équipe dirigeante, avec à sa tête Ilario Botta, a su très vite venir à bout de cette image traumatisante.
Renverser une salière, passer le balai après 18 heures, ouvrir un parapluie dans la maison... Autant de choses qui, apparemment, portent malheur. Petit état des lieux des superstitions maliennes avec Bintou.
Dans les années 1970, Hamidou Ballo était un jeune malien dynamique. À l’époque, il avait du goût pour l’habillement, la photo, le cinéma et de nombreuses autres choses qui donnent un sens à la jeunesse. Très photogénique et doté d’une facilité pour faire, en un laps de temps très court, plus de 10 poses différentes, il était devenu la coqueluche de la plupart des photographes de Bamako. Mais la star…
Fatim se faisait une joie d'aller à l'université. Mais à la faculté publique de Bamako, la jeune malienne a vite déchanté : corruption, violence, grèves à répétition, médiocrité de l'enseignement et, finalement, un diplôme qui ne vaut rien... État des lieux sans filtre.