50 Nuances de Black Panther
50 Nuances de Black Panther, une bérézina marvelienne.
50 Nuances de Black Panther, une bérézina marvelienne.
La vague suscitée par le film "Black Panther" ne m’a pas épargnée. Par je ne sais quel mécanisme psychologique, mon esprit m’a poussé à reconnaître, à travers certains personnages du film, des personnes "types" que tout homme rencontre ou est amené à rencontrer dans sa vie. Portraits des personnages telles que la soeur, l amie, l épouse et la mère, du côté de la vraie vie... Ces propos n engagent que moi ! :)
Ma mémoire imprime facilement toutes les images que je vois, avec une certaine préférence pour les images morbides vues dans des films d horreur. Elles sont stockées quelque part dans mon cerveau pour pouvoir ressortir au bon moment : quand je vais aux toilettes la nuit, quand je me retrouve dans un lieu sombre, quand je suis seule chez moi, ou quand le vent souffle les rideaux sans explication. (Débile oui ;) )
Je ne pense pas avoir besoin de vous présenter à nouveau l’homme. Si vous êtes de notre époque, que vous surfez sur la vague des réseaux sociaux et que vous aimez l’innovation, vous connaissez forcément Wil Aime.
Tu vois… on ne peut pas diriger le sentiment amoureux et le désir quand on les sent avec une telle puissance et une telle clarté. Ils viennent sans effort, de façon inattendue, des profondeurs de l’âme jusqu’à la surface. Tous ces moments sont rares, presque sacrés à l’existence humaine
Désormais, la blogosphère béninoise peut se vanter de disposer d’un blog cinéma et ceci grâce à Cornélia Glèlè. Pour commencer, Cornélia nous embarque dans les salles obscures avec une liste de salles de cinéma à Cotonou !
Il est 20h30, l’heure à laquelle les ruelles d’Agbalépédogan (1) se desertent. Seule la rue principale avec ses deux rangées de lampadaires dessinant sur le sol des silhouettes longilignes trahit quelques présences humaines. Présences sans aucun doute masculines, la majeure partie de la gente féminine s’attelant à une autre occupation. L’indifférence suscitée par les trente minutes réservées au JT de 20h (journal télévisé) et à sa charmante présentatrice laisse place à l’effervescence…
Ziad Doueiri crie dans son dernier film, l’Insulte. Il est arrêté net quand il crie. Le Liban fait son cinéma, après tant de temps de silence. On ne pouvait pas ne pas le faire ce cinéma. Certains tentent de le réduire au silence pour maintenir le statu quo pervers, empêtré dans le passé, chaotique. Prétendu refus de stabilité ; rester sur le fil du rasoir, plus excitant, plus facile. La guerre en…
C’est fait, j’ai enfin regardé Annabelle 2 ! Tous mes proches savent à quel point j’étais impatiente de le regarder. Il faut dire que le premier volet d’Annabelle m’avait grandement déçue et je m’étais même endormie pendant la projection. Mais après avoir vu la bande annonce du dernier, je ne tenais plus en place. Alors flanquée de ma très chère Miss Africa, je me suis rendue au cinéma pour savourer…
Depuis quelques mois une équipe formidable (dont je fais partie) œuvre pour la tenue de la seconde édition de SlamLadies, un concours de slam au Féminin. Pour ceux qui ne connaissent pas le Slam, il s’agit d’une poésie ou prose déclamée a cappella ou sur léger fond musical et obéissant à des règles particulières. Art d’expression orale populaire, il se pratique généralement dans des lieux publics, sous…
Il y a quatre mois, j'ai vécu une nouvelle expérience aux portes du désert grâce à Plan B et à mes amis de M'Hamid el Ghizlane : l'organisation du tournage d'un documentaire pour la toute nouvelle chaîne TV Maroc. Ces jours-ci, Laila Lahlou, réalisatrice marocaine à l'initiative de ce projet inédit, revit le voyage à la rencontre des habitants de cet ancien carrefour de caravanes au cœur de la vallée du Drâa. L'heure est au montage et aux choix parfois difficiles pour rendre au mieux ce qui fait la force et l'originalité de ce film.
À la tombée de la nuit, au clair de lune, les piétons sont confrontés à une caravane de silhouettes d’ombres, des danseurs filmés, des dessins de squelettes activés, des contours d’objets anthropomorphes, le tout animé par la musique d’une fanfare et la danse des figures sur les écrans de l’installation