A mort Cupidon !
Tuer cupidon ! Est-ce vraiment la solution ? C'est en tous cas la proposition. Mais avant, lisons sans passion les chefs d'accusation...
Partir avant la fin est un fait, trouver le bon alibi est un challenge.
A des questions comme ça, on peut répondre avec un sourire. Et j’imagine que vous souriez aussi. Rassurez-vous, je ne suis pas le seul benguiste à recevoir ce type de questions. Le mois dernier d’ailleurs, j’en parlais avec plusieurs amis africains benguistes.
Aujourd’hui, Stéphane nous présente sa Madone. Vous voici, Madone ma bien aimée Qui mourez dans mes mots. Merveilleuse, vous m’aviez charmé Et remué tous mes maux. Vous! Je vous vomis comme un mets Périmé une fois consommé. Vous quitterez mon monde sans un mais, Même si vous en étiez le sommet. Malheur à l’amoureux enflammé Qui aimait à vous magnifier Se donnant du mal pour vous acclamer. Femme à la flamme…
Il est à peine 6h du matin. Lourds comme des canons, les paupières se dégagent difficilement de mes yeux. Toujours sous le poids de la fatigue d’hier, mon corps ne veut pas quitter le lit. Dehors, le coq du voisin d’à côté anime le quartier. Au-dessus du toit de ma chambre, le ciel est grisâtre. Il fait sombre. Mais le jour se pointe quand même à l’horizon.
Pas celle de maintenant hein, celle d’avant. Parce que depuis un moment, je n’arrive plus à me dégoter une petite amie stable. Chaque fois que je veux draguer une Camerounaise, elle me demande d’abord si j’ai WhatsApp. Et quand je lui dis que mon téléphone n’a pas l’afficheur, elle me pose ensuite la question que « Tu cherches alors quoi derrière moi si tu n’as pas un téléphone Androïd ? Hein ? » Il…
Demain dès l’aube, il oubliera sa prunelle, La rosée emportera leurs promesses éternelles, Avant que le soleil ne se lève sur leurs peurs, Et qu’ils ne soient plus en mesure de se faire des adieux en douceur. C’est le fruit de ce lien qui s’est douloureusement brisé hier soir, Cette étincelle brûlante qu’on ne peut voir, Parce qu’étant un sentiment avide, Qui laisse peu à peu un vide. A l’heure…
Prudence! à l’autre elle appartient. Souviens-toi « La femme de ton prochain... Tu ne convoiteras point » coquin !