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Crédit: A l’Université de Tours, près de 2.000 étudiants habitent au campus de Grandmont. Parmi eux, certains étudiants internationaux qui par manque de ressources financières, peinent à s’en sortir avec la crise sanitaire. Rencontre avec Ana, Mohamed et Hamza.
Crédit: Belgique, France, Angleterre, Espagne… Ces pays se confinent de nouveau ou se ménagent pour éviter les foudres d’une deuxième vague. Pendant ce temps, en Egypte, tout se passe comme si la pandémie avait disparu. Même de simples gestes barrières sont difficiles à respecter dans ce pays aux 110 767 cas de Covid-19.
Crédit: Le gouvernement camerounais n’a pas réagi comme il le devait à la crise sanitaire, et les Camerounais n’ont pu compter que sur eux-mêmes. Et de nombreux partis politiques ont tenté de tirer leur épingle du jeu.
Ceux qui ont trouvé le secret du bon confinement s’expriment sur les réseaux sociaux. L’Haïtien en moi les regarde du coin de l’œil. Comme si inévitablement, il fallait trouver une solution à tout. Pourquoi ne peut-on pas se contenter d’avancer ensemble dans le noir, dans l’incertitude ?
Depuis décembre 2019, le monde traverse une crise sanitaire sans précédent. Toutes les activités sont à l’arrêt et le taux de chômage est en hausse. Cependant, l’homme étant l’être doté de conscience, n’a pas croisé les bras, et a utilisé des stratégies pour surmonter cette situation, par la création.
La pandémie du coronavirus fait de moins en moins peur en Egypte. Commerces, Mosquées, cafés et bars-chicha s’ouvrent désormais à des heures réglementées et avec certaines restrictions. Mais pour beaucoup, rien ne sera plus comme avant car le Covid-19 a apporté des changements inopinés…
Crédit: Depuis l’officialisation du coronavirus, et surtout l’instauration du couvre-feu, tous les lieux publics sont fermés, sans exception, même pour les lieux de cultes. Mais ce qui est exceptionnel, c’est le fonctionnements des lieux des travailleurs du sexe, isolés du grand monde…
Crédit: L’arrivée du coronavirus a bouleversé les médias au Bénin. C’est le cas à la radio et télévision du Bénin à Parakou, une chaine du service public. Pour lutter contre la propagation de la Covid-19, la direction a complètement modifié les conditions de travail des journalistes.
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Crédit: L’inondation est devenue, ces derniers temps, l’un des phénomènes les plus récurrent dans la capitale tchadienne N’Djamena. Les pluies torrentielles du mois d’août ont causé assez des dégâts, laissant la population des quartiers périphériques dans un désarroi total. Cette situation vient s’ajouter à celle de la Covid-19.
Ceux qui ne croient pas encore à l’existence du coronavirus dans le septentrion du pays, se méprennent. Des personnes ayant souffert du mal dans le Borgou témoignent après leur guérison. Quelques-unes l’ont fait à visage découvert le dimanche 19 juillet 2020 à Parakou. Parmi eux, Hermine Fatombi Gbénou, agent de santé à Parakou.
Crédit: La situation sanitaire que traverse le Tchad actuellement à cause du coronavirus boulverse notre système agricole. L'avenir des agriculteurs est incertain et rien n'est assuré quant à la sécurité alimentaire du pays pour l’an prochain. Les agriculteurs sont confrontés à plusieurs difficultés dont la première est l’accession à leurs champs.
Crédit: Le confinement au Brésil n'est pas chose facile. Il y a ceux qui arrivent à bien gérer et les autres. Le quotidien devient une dans curieuse, une danse à l'envers qui veut que l’on médite sur nos habitudes. Si la Covid-19 vient nous faire danser la danse de la peur et de la mort, nous, on peut lui apprendre à danser celle de la solidarité et de la victoire. À nous de choisir, soit la suivre, soit l'affronter humainement et dignement. Alors, allons-y, en piste !
Crédit: « Comment avoir peur quand le danger est annoncé par des menteurs ? » En Ayiti, on se méfie plus du gouvernement que du coronavirus. Nombreux sont ceux qui estiment que la pandémie de Covid-19 est une stratégie utilisée par le gouvernement pour faire du fric et arnaquer la population. Pour plus d'un, la Covid-19 n'est qu'une farce.
Crédit: Ce matin, je me suis installé dehors. Sur mon tabouret, j’attends de voir des enfants se disputer les bonbons de l’Aïd el Fitr. Ce spectacle, je me l’offre à chaque fête de Ramadan. Sur les rares enfants qui passaient, seulement très peu d’entre eux portaient un boubou neuf. Ils marchaient quasiment sans gaieté. On voyait que leurs poches ne sont pas remplies des friandises. Indéniablement, ils sentaient l’effet de la…
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