Crédit:
Image par Gordon Johnson de Pixabay Au fur et à mesure que mon âge augmente, je suis de plus en plus préoccupé par ma santé physique. Et j’ai même l’impression que je suis indiscutablement en train de devenir un hypocondriaque... Je suis devenu tellement précautionneux et méticuleux pour ma santé, que, au fond de moi-même, je sais que c’est la sénilité qui est en train de vouloir me prendre !
Crédit:
Ralph Kakou Depuis toute petite, j’éprouve un pincement au cœur quand je vois des enfants en situation de précarité ou de handicap. Mais, sous un autre angle, on peut aussi voir l’humanité, la beauté humaine, la simplicité de la vie. Et c’est ce que j’ai vu, chez les petites pousses du centre Felana Maitso, dimanche.
Crédit:
Fabrice Charlot 
La question de la migration reste de nos jours l’un des sujets qui défraient la chronique. Et la couche la plus touchée par ce phénomène ces derniers temps reste sans doute celle des jeunes qui souhaitent poursuivre leurs études.
Entre les lignes de mes deux précédents billets de blog, j’ai eu à aborder le début du sentier du jeune Aliou et de son pote d’enfance. Désormais loin de son pays d’origine et de son ami qui a bien voulu tout partager avec lui, l’orphelin décide de continuer son périple afin d’arriver à sa destination.
Seul garçon d’une famille de 7 filles, Salah Cissé, 24 ans, réfugié malien au Camp Mberra en Mauritanie, diplômé en Sociologie de l’Université de Bamako, est obnubilé par la recherche d’un emploi. Et l’attente perdure.
C’est à la suite d’une formation de la GIZ en Mauritanie, promouvant les droits humains, que j’ai été inspirée pour cet article qui m’a permis de rencontrer Ishag et Kenny, deux jeunes en croisade pour une vie meilleure, malgré leur handicap.
N’Tena est un village situé à 5 km de Kéléya, dans la région de Sikasso, au Mali. L’économie du village repose essentiellement sur la vente du charbon. Cette activité n’est pas sans conséquence sur l’environnement. Et les populations sont de plus en plus conscientes du danger qu’elle représente.
La sous-région des grands lacs africains fait face à un cycle de conflits intercommunautaires qui entravent son élan de développement. Pour y mettre fin, depuis 2012, les jeunes de cette partie du continent ont créé le festival « Tambours pour la paix ».
Crédit: Mon identité est construite autour de mon nom et de ma langue. Lorsque ces deux colonnes de l’architecture identitaire sont en place, d’autres éléments s’y greffent. Mais lorsqu’au nom de l’émancipation, on donne un nom étranger, on adopte une langue étrangère, alors, c’est une culture qui fonce dans le brouillard.
S’il y a donc un âge qu’on peut craindre de franchir, c’est bien 26 ans. Qui, parmi nous, ne s’est pas posé pour réfléchir à sa vie dès l’âge de 25 ans ? Oui, je vous parle du « quart de siècle » dont on nous parle. La joie d’avoir ou de dépasser ses 26 printemps se transforme en soucis quel que soit l’endroit où l’on se trouve.
La toute première édition du Festival des AmArou vient de connaître son point d’orgue. Ce festival fait le pari de contribuer à la démocratisation de l’éducation artistique et culturelle au Togo.
Crédit: